Il y a des communiqués de presse qui comptent !
Quel final ! Cette neuvième édition est vraiment inédite. Mercredi et jeudi, 8 concurrents vont couper la ligne d’arrivée… Jamais un Tour du Monde en solo n’aura été si serré jusqu’à l’arrivée aux Sables d’Olonne. Et en plus de cette situation particulière, le premier en Vendée ne sera, peut-être, pas le premier au classement général, bonifications de Yannick Bestaven, Boris Herrmann et Jean Le cam suite au sauvetage de Kévin Escoffier oblige ! Thomas Ruyant sera, on l’espère, sur le podium mais ce n’est pas certain. En tout cas, le nordiste n’aura rien à regretter tant il a été valeureux, combattant, quasi toujours dans le top 3 malgré beaucoup de soucis… Thomas est un grand, grand marin et son projet est en train de de venir un modèle de sponsoring. Cette course au changement qui laisse la place à LinkedOut afin de remettre à l’emploi des personnes en précarité… Merci Advens pour cet acte fondateur ! Chez TB Press, nous sommes heureux des nombreuses retombées qualitatives engendrées par LinkedOut – Vendée Globe et l’explosion des réseaux sociaux de Thomas. Chez TB Press, on est fier d’avoir contribué à médiatiser ce magnifique défi sociétal, sportif et technologique…. Chez TB Press, on est fier d’accompagner Thomas depuis 2005 ! Vivement maintenant l’arrivée !!
On aura également une autre arrivée, très, très attendue avec Maxime Sorel et son V and B – Mayenne samedi. Maxime va boucler son premier Tour du Monde avec classe ! Maxime entre dans la cour des grands. Maxime remportera un jour le Vendée Globe. Sa faculté à partager, à communiquer, sa faculté à performer a été un bonheur pour nous, communicants. V and B – Mayenne va sortir du Vendée Globe la tête haute et comme certainement le projet à retour sur investissement publicitaire le plus fort du plateau. Chapeau les Sorel et un grand merci à V and B et au département de la Mayenne qui ont cru au dynamisme du parrain national de Vaincre la Muco !
L’Agence TB Press active la communication de TR Racing, la structure de Thomas Ruyant (conseil stratégique, relations presse, influence digitale, éditorial), les relations presse de LinkedOut – Vendée Globe et les relations presse de Maxime Sorel, V and B – Mayenne.
Perrine Laffont entame actuellement, avec l’équipe de France de ski de bosses, un stage de 15 jours à l’Alpe d’Huez. La championne Olympique, vainqueure des trois premières épreuves de la coupe du Monde 2020 – 2021, se rendra ensuite à Deer Valley aux USA les 4 et 5 février puis au Championnat du Monde de la discipline qui se dérouleront, pour finir, à Calgary au Canada les 24 et 25 février. Quelques questions…
Il a été évidemment hyper positif puisque je remporte 3 épreuves sur 3. J’avais quelques doutes avant le début de la Coupe du Monde. Ils sont maintenant effacés. Le travail avec le staff de l’Equipe de France a payé et ces victoires me motivent beaucoup pour la suite. J’ai été particulièrement satisfaite de ma victoire en parallèle à Idre car même si je suis double Championne du Monde dans cette spécialité je suis toujours stressée d’avoir une concurrente à côté de moi.
Je me suis ressourcée en famille dans les Pyrénées. J’ai totalement coupé auprès des miens. J’en ai profité pour faire des randonnées en raquette et pour prendre un maximum de repos.
L’idée est de se remettre rapidement en jambe après une coupure d’un mois sans ski, de retrouver mes sensations, corriger quelques détails qui ont péchés afin de préparer au mieux les championnats du Monde, l’objectif numéro 1 de la saison. La piste concoctée par la Fédération Française de ski est nickel.
Nous devions disputer les Championnats du Monde en Chine sur la piste des Jeux Olympiques de 2022. Toutes les étapes asiatiques ont été annulées à cause du contexte sanitaire. Je ne sais pas encore véritablement si l’étape de Coupe du Monde à Deer Valley va se tenir. C’est vrai que nous sommes pas mal dans l’incertitude et que cette saison de compétition va être assez courte. Je suis pragmatique, je m’adapte à la situation. Je prends les choses comme elles viennent. Je me dis que c’est une année comme ça. Je suis focus sur 2022 et je me dis que d’avoir un peu plus de temps à la maison en France peut être bénéfique pour la suite. Je vais prendre du plaisir sur les skis hors compétition, travailler différemment. Ce n’est, peut-être, pas si mal dans mon processus de préparation pour les prochains Jeux.
Il l’avait annoncé en juin 2019, le navigateur – amateur lillois Pierre Le Roy, cinquième de la dernière Mini Transat en voilier de série, a lancé la construction d’un prototype de 6m50 en vue d’une participation gagnante à la Mini Transat 2021 qui partira des Sables d’Olonne fin septembre en direction de la Guadeloupe via une escale aux Canaries.
Cette nouvelle unité high tech, signée David Raison, après la construction de la carène à Sète, est arrivée en octobre à Hennebont dans le Morbihan au chantier Nautymor pour un assemblage complet réalisé par Pierre Le Roy him self et son préparateur, Cédric Faron. Ce nouveau voilier à étrave ronde sera mis à l’eau courant janvier. Pierre, météorologue dans la vie, il travaille chez Météo France à Villeneuve d’Ascq, enchaînera par la suite des navigations d’entraînement avant de s’attaquer à l’ensemble des compétitions du circuit de la classe Mini et afin de se préparer pour son grand objectif de l’année, la mythique traversée de l’Atlantique en solitaire, sans assistance et sans communication avec la terre.
« J’ai hâte maintenant de me retrouver sur l’eau et d’apprendre à connaître mon nouveau petit monocoque » déclare Pierre, 35 ans. « Depuis son arrivée en Bretagne, nous n’avons pas chômé en installant tous les systèmes : l’accastillage, la quille, les safrans et en les peignant. Ce plan Raison 2019 sera très proche du « Maximum » qui a remporté la Mini avec Ian Lipinski et François Jambou mais il connaît des évolutions dans certains détails comme le mât et la structure intérieure. »
Pierre alterne actuellement périodes au chantier et travail dans le Nord. Il aspire à devenir skipper professionnel dans l’année et recherche actuellement un partenaire – titre qui pourrait avoir le nom de ce voilier. « Je travaille à 80% en ce moment chez Météo France. J’ai trouvé des partenaires secondaires qui vont m’accompagner. J’ai un armateur qui a permis la conception de ce Mini 6.50. J’ai besoin désormais de convaincre d’autres soutiens majeurs afin de me présenter aux Sables d’Olonne en septembre avec toutes les armes pour bien figurer au classement général des protos de la Mini Transat. » Pierre est structuré, jeune, dynamique. Il a prouvé ces dernières années ses capacités à performer en mer. Il s’apprête à mettre à l’eau un Mini très performant. Voici un navigateur qui a tout pour plaire !
Météorologue et marin
Pierre Le Roy a appris la voile du côté de Saint-Malo alors qu’il était enfant et qu’il résidait avec ses parents en région parisienne. « J’ai fait beaucoup d’optimist et de catamaran en école de voile pour le plaisir. J’ai rapidement adoré être sur l’eau sur un bateau. » Il a ensuite côtoyé l’école des Glénan et a fini par devenir moniteur de voile. Parti en Australie pour ses études, c’est à cette occasion qu’il découvre véritablement la régate et la course au large. Diplôme d’ingénieur des travaux de la météorologie en poche, il exerce à Lille et navigue du côté de la cité du corsaire Jean Bart, Dunkerque, avec l’équipage bien connu et chevronné mené par Philippe Bourgeois. Il fait alors ses classes au large au fil des courses de l’UNCL et du RORC. « Ces navigations avec Philippe Bourgeois et son équipage, la lecture d’un article dans un magazine sur la multiplicité des profils s’engageant en Mini 6.50 vont me convaincre de me lancer dans le grand bain. Je me faisais une montagne de la course en solitaire et du circuit Mini mais j’ai compris que c’était possible pour moi et j’avais emmagasiné par mal d’expérience. » A force de travail, Pierre Le Roy monte sur le podium de la Mini en Mai 2019 (3ème), accumule les top 10 et réalise une belle performance sur la Mini 2019. Le navigateur – météorologue est maintenant à maturité pour appréhender une machine à la voile plus complexe, plus rapide et légitimement formuler des objectifs sportifs importants.
Très, très bonne année 2021 !
Que du bonheur, du partage, du contact !
Notre clip TB Press à multiples visages qui comptent pour nous : https://www.youtube.com/watch?v=HFXWtyt3-OU
Toute l’équipe de TB Press vous souhaite de belles fêtes de fin d’année !
2020 aura été une année spéciale, 2021 sera extraordinaire !
Vive la communication ! Vive les relations presse, l’éditorial, le conseil et l’influence !
On ne sera pas complétement fermé ces semaines prochaines, Vendée Globe oblige !
Rendez-vous très bientôt ici !
Le skipper nordiste du voilier LinkedOut Thomas Ruyant s’est emparé cette nuit de la tête du Vendée Globe. Il reprend le commandement de l’épreuve, une première place qu’il avait abandonnée on s’en souvient le 23 novembre dernier en Atlantique, aux prises avec des soucis de hook qui l’avaient contraint à arrêter son bateau pour grimper, à quatre reprises, en tête de mât. S’était ensuivit cette sérieuse avarie sur son foil bâbord. C’est ainsi sérieusement diminué sur le bord le plus usité en travers d’un Océan Indien des mauvais jours qu’il s‘est attaché à revenir, patiemment et en multipliant d’ingéniosité, sur le leader Apivia. Ce dernier vient à son tour de connaitre des soucis techniques qui permettent à Thomas, bien positionné en son Sud ces dernières 40 heures, de reprendre le leadership.
Si Thomas a impressionné Yannick Bestaven, la réciproque est aussi vraie ; « Yannick va très vite » raconte Ruyant. « Il est très bien revenu ces deniers deux jours, qui étaient très favorables aux foilers, avec un angle au vent et un état de mer propices à bien utiliser ces appendices. Je ne suis malheureusement pas sur le bon côté et je dois beaucoup « charger » le bateau pour avancer (mettre beaucoup de toile ndlr). En utilisant à fond mes ballasts et en portant beaucoup de toile, je fais giter le bateau et peux ainsi m’appuyer sur le coude restant de mon foil. Ce n’est pas de la navigation en vol mais cela me permet de m’accrocher ».
Thomas devrait, dans les toutes prochaines heures, empanner enfin sur le « bon bord ». « Je sens que le vent prend déjà de l’Ouest » décrit-il. « Vivement le Nord-Ouest, même si nous serons alors au portant dans le lit du vent, en vitesse vmg, qui n’est pas favorable à l’utilisation des foils, je me sentirai mieux de pouvoir ainsi profiter à 100% de mon bateau. »
Le Vendée Globe connait donc aujourd’hui un nouveau tournant, le leader Apivia à son tour contrarié par des avaries. Yannick Bestaven a réglé les siennes et repart de plus belle. Thomas s’est intelligemment laissé glisser au Sud, et profite ce matin d’un peu plus de pression que son adversaire. « Je suis désolé pour Charlie. J’ai été surpris de le voir ce matin quasiment arrêté » précise t’il, « Mais je ne vais pas ralentir. Je me suis battu pour être là où je suis aujourd’hui. Les prochaines heures sont propices à la vitesse, tandis que derrière, le groupe de chasse bute dans l’anticyclone. Je ne m’emballe pas. Je garde la tête froide, mais je suis content de me retrouver en tête après un demi-tour du monde. »
Les températures baissent drastiquement au fur et à mesure que LinkedOut plonge vers le Sud et les 50èmes. Thomas a sorti toute la panoplie de ses vêtement polaires. « Même avec les gants et le bonnet, ça caille à l’intérieur » s’amuse-t’il. Alors qu’il entrevoit la sortie de l’Océan Indien, un nouvel état d’esprit s’empare du skipper Nordiste. « Je vais découvrir le Pacifique, n’ayant pu y entrer il y a 4 ans suite à mon abandon au sud de la Nouvelle-Zélande. J’ai hâte d’y être, et j’espère que la mer y sera moins difficile que dans l’Indien. C’est apaisant de savoir que l’on n’aura pas de grosses tempêtes à venir. Je me concentre sur ma course, mes trajectoires et mon bateau. Je ressens une certaine sérénité. »
Perrine Laffont a remporté en ce début d’après-midi son duel en finale contre l’Américaine Kauf. La championne Olympique de ski de bosses avait également gagné son épreuve en simple hier à Idree en Suède tout comme la compétition qui se déroulait le week-end dernier à Ruka en Finlande. L’athlète ariégeoise réalise un sans-faute donc depuis le début de la Coupe du Monde 2020 – 2021 avec trois victoires sur trois. C’est la 20ème victoire de Perrine en Coupe du Monde à seulement 22 ans. Place désormais à un repos mérité avant de reprendre la Coupe du Monde à Calgary au Canada du 21 au 23 janvier prochain.
« Forcément, je suis super contente de cette nouvelle victoire » déclare Perrine. « C’était un peu l’ascenseur émotionnel ce matin car il y avait beaucoup de brouillard sur la piste et pas mal d’incertitudes. La compétition a été stoppée 45 minutes. J’ai cru à l’annulation puis la visibilité est revenue et j’ai enchaîné. Une victoire en parallèle, cela fait toujours plaisir ! Nous avons fait avec l’Equipe de France et le staff un bon travail depuis quelques mois. Je ne savais pas sur quel pied dansé avant Ruka et je dois dire que cette première étape en Finlande m’a rassuré. Je passe maintenant le back japan, ce nouveau saut, sans fébrilité. Je le maîtrise sans trop réfléchir et surtout en parallèle où cela va plus vite. J’ai conscience d’avoir réalisé une année 2020 de haut vol même si elle a été un peu bizarre avec la crise sanitaire. Nous allons maintenant se préparer pour 2021. Les Championnats du Monde en Chine sont annulés et la FIS réfléchit à une alternative. Nous allons certainement avoir moins de courses en 2021. Je vais courir un peu moins à droite et à gauche et j’aurais l’opportunité de skier un peu plus pour le plaisir dans la poudreuse ! J’ajoute que je suis fière du doublé que nous avons effectué hier avec Ben Cavet qui gagne également en simple. Ce n’était pas arrivé pour des tricolores depuis 1995. »
En cette fin d’année, un bonheur de travailler pour Atout Soleil – GPMA – Generali et la mise en avant d’associations locales particulièrement actives face à la crise sanitaire… Voici quelques exemples de notre travail en relations presse et rédactionnel…