Invitation au Voyage, à l’Aventure, au Vendée Globe !

Thomas Ruyant – « Le Souffle Du Nord » – Helly Hansen

Alors que la construction de son Imoca dernière génération bat son plein en Lombardie, du côté de Bergame, Thomas Ruyant poursuit inlassablement sa quête de partenaires désireux de partager dès à présent l’extraordinaire aventure en cours, qui trouvera à l’automne 2020 une apogée rare, enviée, et valorisante à souhait, avec ce sommet d’engouement médiatique et populaire que constitue un départ de Vendée Globe. Le navigateur Nordiste a fait le pari de l’excellence à tous les étages. Il s’est encadré d’une Dream Team, « les meilleurs à leur poste », qui lui permet aujourd’hui, sans vantardise aucune, de proposer aux entrepreneurs en quête de développement dynamique et hors norme, un projet haut de gamme, clé en main, parfaitement bordé en toutes ses caractéristiques, humaines et techniques. « La démarche sportive et technologique que constitue TR Racing représente, en ce début d’année 2019, le seul projet compétitif parfaitement lancé et ambitieux, totalement disponible à la communication d’un ou plusieurs partenaires tentés par l’aventure unique du Vendée Globe. » martèle Thomas. « La porte de l’Aventure majuscule est grande ouverte. Ceux qui désirent nous rejoindre n’ont plus qu’à prendre place à nos côtés et à se laisser piloter sur les vagues de l’exploit… »

Une addition de talents pour un projet performant

Totalement focalisé sur l’avenir et sur les échéances qui approchent à grands pas, avec cette mise à l’eau si attendue de son plan Verdier programmée pour courant juillet prochain, Thomas Ruyant se réjouit aussi être parvenu, grâce au soutien indéfectible de ses investisseurs, à mettre sur les rails l’ambitieux projet sportif et technologique auquel il aspirait depuis l’interruption prématurée de son Vendée Globe 2016-2017. « Nous sommes parvenus à réunir toutes les composantes à mes yeux les plus performantes du moment pour aboutir à la construction et au lancement d’un voilier de la classe Imoca innovant et performant. Ils sont les meilleurs à leurs postes ; Guillaume Verdier est l’architecte référence pour dessiner ce voilier capable de prétendre aux plus grands succès. Il est épaulé pour les études et les calculs de François Pernel, transfuge des projets de Jean Pierre Dick. Le bateau est en construction chez un orfèvre en la matière, le chantier italien Persico Marine à Bergame. Antoine Koch travaille en parfaite harmonie avec Guillaume Verdier sur la conception de tous nos appendices. Laurent Bourguès, mon complice de toujours, occupe les fonctions de Directeur technique, tandis que Marcus Hutchinson que l’on ne présente plus, est mon Team Manager. »

« L’addition de tous ces talents et de toutes ces compétences permet au projet de prendre forme et consistance de la meilleure des manières. Reste à trouver la marque, le partenaire titre, les hommes ambitieux pour prendre les commandes de notre « fusée », et d’en faire le soutien, le support redoutablement efficace d’une communication active, interactive, puissamment performante comme seule la voile océanique peut offrir. Nous proposons, je le crois, une opportunité unique pour un sponsor d’entrer de plain pied dans un projet gagnant, libéré des contraintes techniques fastidieuses, pour ne plus se concentrer qu’à l’accompagnement en communication d’une aventure exceptionnelle et rare. »

Des retours sur investissement colossaux

Le compte à rebours est donc lancé pour TR Racing qui compte bien profiter du calendrier du second semestre 2019 pour accumuler les premiers milles de mise au point. « La Transat Jacques Vabre constituera un premier galop très intéressant pour progresser dans la prise en main du bateau. C’est aussi un événement tout à fait propice pour lancer la communication d’un sponsor. Le début de l’année 2020 sera encore l’occasion de naviguer à plusieurs reprises en Transat, pour arriver avec un bateau parfaitement abouti sur la ligne de départ du Vendée Globe aux Sables d’Olonne. »

« On connait les retours sur investissement d’un Vendée Globe » poursuit Thomas, « ils sont colossaux et d’autant plus performants pour un investisseur qui nous rejoindrait aujourd’hui, n’ayant plus qu’à « habiller » un projet solidement construit.  J’ai mon destin en main, et je veux le partager…»

Un monocoque de 60 pieds IMOCA en construction pour Thomas Ruyant

TR Racing, la nouvelle structure du navigateur – entrepreneur Thomas Ruyant, a mis en construction début août 2018 un monocoque de 60 pieds IMOCA « dernière génération » destiné à disputer le prochain Vendée Globe en 2020. Un groupe d’investisseurs épaule le navigateur Dunkerquois dans sa démarche.

Les dessins du voilier sont signés Guillaume Verdier et c’est le chantier Italien Persico qui procède actuellement à la construction du bateau. La mise à l’eau est prévue pour juillet 2019.

TR Racing est à la recherche de partenaires pour soutenir son programme sportif. C’est véritablement un projet haut de gamme unique, clé en main, que propose Thomas Ruyant.

Thomas Ruyant : « Ce projet intègre toute mon expérience, tout mon savoir-faire glané sur tous les supports et depuis près de 20 ans, de Mini Transats en Route du Rhum en Solitaire du Figaro ou Vendée Globe. Grâce à un groupe d’investisseurs, mes équipes techniques et logistiques sont constituées et la construction progresse dans le bon tempo pour aborder sereinement le prochain Vendée Globe. Il me faut maintenant réunir des hommes et des entreprises sensibles à la passion qui nous habite et désireux de partager ensemble une formidable aventure. »

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Le programme sportif : il sera composé de toutes les épreuves du circuit IMOCA, nouvellement renommé « l’IMOCA Globe Series », ce qui inclut la Jacques Vabre 2019, la Transat Anglaise et la Transat New York-Les Sables en 2020 avant le Vendée Globe 2020-2021. Par la suite, il y aura aussi la Route du Rhum 2022.  

L’équipe TR Racing par Thomas : « Laurent Bourgués, avec qui je travaille depuis plusieurs années, est en charge de la coordination technique. Le team s’est renforcé avec François Pernelle comme responsable du bureau d’étude. Antoine Koch travaille avec nous sur la phase de conception avec des dossiers bien précis comme les appendices ou le plan de voilure. Marcus Hutchinson a également rejoint l’équipe et apportera sa longue expérience de la course au large… »

Thomas Ruyant sur la Transat Jacques Vabre

Le marin nordiste reprend du service au grand large. Thomas sera au départ le 5 novembre prochain de la Transat Jacques Vabre, traversée de l’Atlantique en double entre Le Havre et Salvador de Bahia au Brésil, à bord du monocoque de 60 pieds IMOCA « Malizia – Yacht Club de Monaco » skippé par l’Allemand Boris Hermann. Thomas Ruyant, 36 ans, héroïque sur le dernier Vendée Globe à bord du Souffle du Nord pour Le Projet Imagine, s’engage sur sa quatrième Transat Jacques Vabre. Il naviguera sur un plan VPLP – Verdier de 2015, l’ancien Edmond de Rothschild de Sébastien Josse, pourvu de foils. Comme depuis le début du printemps, le dunkerquois continue à chercher des partenaires afin de prendre le départ du Tour du Monde en solitaire et sans escale 2020 avec l’ambition de jouer les premiers rôles sportifs. Trois questions…

  • Quelle est ta réaction quant à ta quatrième participation à la Transat Jacques Vabre ?

C’est canon ! Je suis très heureux de me retrouver au départ d’une grande course océanique après mon abandon malheureux sur le dernier Vendée Globe. Cela rentre dans tous mes objectifs à savoir pratiquer ma profession de coureur au large et m’engager sur un monocoque de 60 pieds dernière génération ou en tout cas récent car c’est sur ce genre de voiliers que je veux me présenter sur la ligne de départ du prochain Vendée Globe. Je recherche d’ailleurs activement depuis un moment un ou des partenaires dans ce sens. Malizia – Yacht Club de Monaco est un voilier très rapide. En moyenne, il a une vitesse plus élevée que mon plan Verdier 2007 sur lequel j’ai navigué ces dernières années. Au reaching, c’est un bateau qui accélère très fort grâce notamment à ses foils. C’est un voilier qui va à la vitesse du vent tout le temps. Et puis, Boris Hermann, le skipper en titre du bateau, a récupéré une machine très optimisé par Sébastien Josse et son équipe. Je pense qu’actuellement en 60 pieds IMOCA, c’est un peu l’arme fatale !

  • Quelle est ton histoire avec Boris Hermann ?

Nous nous étions croisés ces dernières années mais, pour finir, nous ne nous connaissions pas vraiment. Boris m’a proposé de venir à bord de son bateau pour un convoyage au printemps. J’ai évidemment accepté. Le courant est très vite passé. Il a une grande expérience car un grand nombre de milles au compteur depuis ses débuts en Class 40 notamment. Il a aussi navigué avec Giovanni Soldini en Vor 70 sur des campagnes de record. Il était aussi équipier de Francis Joyon sur le trophée Jules Verne sur sa première tentative de record du Tour du Monde en équipage. Nous nous dépensons autant en mer. Nous mettons la même énergie et avons les mêmes objectifs de performance. Comme nous nous sommes bien entendus, nous avons enchaîné cette année avec de longues navigations comme La Trinité-sur-Mer – Monaco ou Monaco – Lorient et dès cette fin de semaine, nous allons convoyer à nouveau le bateau entre Monaco et la Bretagne. Avant cette Transat Jacques Vabre, nous aurons parcouru plus de 4500 milles à deux. Cela va me permettre de mieux appréhender ce nouveau support ! La décision de prendre le départ à la Transat Jacques Vabre a été prise un peu au dernier moment faute de budget. Même si nous n’allons pas partir dans des conditions optimales, je pense que nous avons les capacités de bien faire et d’être compétitif.

  • Que représente la Transat Jacques Vabre pour toi ?

Deux abandons en Class 40 avec Stéphane Le Diraison et Bruno Jourdren pour des soucis techniques et une superbe participation avec Adrien Hardy à bord du Souffle du Nord pour Le Projet Imagine. Nous étions des bizuths en Imoca et nous avons terminé 4ème. Cette performance m’a mis dans de bons rails alors que je préparais mon Vendée Globe. C’est, enfin, un parcours que je connais puisque j’ai pris le départ de deux Mini Transat en direction de Salvador de Bahia dont une victoire en 2009. Mon arrivée dans la baie de tous les saints en 2009 est un moment très fort de ma vie. J’espère que le Brésil va continuer à me porter chance !

Thomas Ruyant en bref : originaire de Malo-les-Bains (59), 36 ans, au départ du dernier Vendée Globe à bord du Souffle du Nord pour Le Projet Imagine, vainqueur de la Mini Transat 2009, vainqueur de la Route du Rhum 2010 en Class 40, 3 participations à La Solitaire du Figaro, 4ème de la Transat Jacques Vabre 2015 en Imoca et avec Adrien Hardy, 5ème du dernier Tour de Bretagne à la Voile avec Adrien Hardy