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Solidaires En Peloton – ARSEP, version 2019

février, 4Solidaires En Peloton

Le Défi Voile Solidaires En Peloton, après une saison 2018 menée tambour battant à bord du Multi50 aux couleurs des 100 000 patients atteints de la Sclérose En Plaques et skippé par Thibaut Vauchel-Camus, se prépare activement pour une deuxième année de navigation dont l’apogée sera la Transat Jacques Vabre entre Le Havre et Salvador de Bahia, départ le 27 octobre. Trois questions…

  1. Retour en arrière, comment s’est déroulé ton “après-Rhum” ?

Mon arrivée à Pointe-à-Pitre, à la troisième place , a été très forte en termes d’émotions. Ce retour à la maison (Thibaut est originaire de Guadeloupe) a été puissant. J’ai été accueilli avec beaucoup de ferveur. J’ai été très touché par la sympathie des guadeloupéens à mon égard. Traverser l’Atlantique sur un Multi50, ce n’est pas rien. Cette Route du Rhum m’a marqué. Beaucoup de monde s’est passionné pour mon parcours. C’est un plaisir de partager encore aujourd’hui l’enthousiasme lié à ma Route du Rhum. J’ai ressenti un réel bien-être les jours suivants mon arrivée. J’étais heureux de retrouver la vie guadeloupéenne : la fête, la nourriture, le surf ou le kite dans une mer chaude… Ce relâchement a été bon à vivre avec mes proches, ma femme, ma fille, mes partenaires, les patients. Je suis maintenant de retour en Bretagne, à Saint-Malo, mon autre chez moi.  Il a fallu récupérer physiquement et se remettre dans une vie de chef d’entreprise. Nous avons vécu une telle année 2018 que quand ça s’arrête, tu te demandes ce que tu vas faire ! Il y a peut-être un petit “Rhum blues” même si j’ai de beaux défis devant moi.

  1. Justement, peux-tu nous parler de 2019 ?

J’espère pouvoir annoncer mon co-skipper sur la Transat Jacques Vabre assez vite. Sportivement, la Transat Jacques Vabre sera la grande épreuve de l’année. Je ne serais plus un bizuth du Multi50 comme en 2018. Nous avons emmagasiné beaucoup d’expérience sur notre trimaran l’année dernière. Alors forcément, l’idée est de jouer la gagne sur cette longue traversée de l’Atlantique en direction du Brésil. En avant-saison, nous allons participer à toutes les courses du circuit Multi50 comme le Grand Prix Guyader, le tour de Belle-Ile, le Trophée de Brest Multi50, l’Armen Race en mai et puis il y aura le Grand Prix Valdys en septembre. En marge de ce programme, je réfléchis à d’autres défis en solitaire à bord du Multi50 Solidaires En Peloton – ARSEP. Pourquoi pas un record ? Comme les autres années, je vais également m’atteler à mettre en avant la Fondation ARSEP et les patients atteints de la Sclérose En Plaques. Ces derniers viendront à plusieurs reprises à bord de mon voilier et puis il y aura le congrès des patients en mars, la journée mondiale en mai et les 50 ans de la Fondation. Je vais aussi participer à de nombreux événements Solidaires En Peloton en allant à la rencontre des défis kart, auto, moto, running…

  1. Enfin, comment va le Multi50 bleu ?

Il a effectué 8 courses, 12 000 milles, embarqué 500 personnes en 2018. Il a donc besoin d’un bon chantier d’hiver. Nous allons surtout faire de la cosmétique générale car il est en bon état. Nous allons démonter tous les systèmes et remplacer les pièces usées. Nous voulons également gagner un peu de poids, mettre au point une voile pour la Transat Jacques Vabre et réfléchir à des aménagements pour la navigation en double, mettre une bannette par exemple.

Alexis Loison : « Réussir à être à l’aise au plus vite »

février, 1Loison

Après avoir récupéré son Figaro Bénéteau III le 16 janvier dernier, puis préparé sa monture au chantier Caennais V1D2 afin la mettre au propre et de commencer à l’optimiser, Alexis Loison, s’apprête désormais à entamer les premières navigations pour prendre en main sa nouvelle machine équipée de foils. Le challenge est de taille pour le skipper Région Normandie pour les deux saisons à venir qui, fort de déjà 13 années d’expérience et de très nombreux succès sur le circuit des Figaro Bénéteau, affiche légitimement des ambitions fortes, même si ce changement de support impose de trouver au plus vite de nouveaux réglages et de nouveaux repères. Et c’est d’autant plus vrai que le coup d’envoi de la première épreuve de l’année, la Sardinha Cup qui se jouera en double entre Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Lisbonne, sera donné dès le 7 avril prochain, et qu’en prime, de très nombreux grands noms de la voile ont choisi de faire leur retour sur le circuit, à l’image de Loïck Peyron ou Michel Desjoyeaux. Bref, on l’aura compris, 2019 s’annonce aussi intense que passionnante pour le Cherbourgeois qui vise clairement à la fois un podium sur la Championnat de France Elite de Course au Large et sur la fameuse Solitaire Urgo – Le Figaro. Entretien.

Vous avez reçu votre nouveau bateau le 16 janvier dernier. On image que, depuis, le temps est compté ?

« Au début, après le déballage du bateau, nous avons réalisé un premier état des lieux et, comme l’autorise la classe, nous avons retravaillé différents points, comme par exemple la quille, dans le but de lui donner un plus joli profil. Nous avons également fait beaucoup de montage et de matelotage, puis nous avons soigné l’installation du système de foil. Au final, nous nous en sommes bien sortis et nous avons fait un truc propre. Après cette période de dix jours, nous avons mis le bateau sur un camion pour le descendre en Bretagne en passant par le Conseil Régional de Normandie. Là a eu lieu la cérémonie de baptême du Figaro III en présence d’Hervé Morin, Président de la Région. Ce moment restera évidemment un joli souvenir dans la vie du bateau et du projet. Dans la foulée, le camion a repris la route pour Port-la-Forêt où il est arrivé mardi matin. Très vite, tout s’est enchaîné : nous avons mis à l’eau mercredi puis mâté hier (jeudi). Les voiles sont prêtes et je dois les récupérer ce vendredi soir avant d’attaquer les premières navigations. »

A partir de quand sont prévues ces premières sorties en mer ?

« Aujourd’hui et demain, je participe au stage de survie imposé par la Fédération Internationale (World Sailing) tous les cinq ans. L’objectif est donc d’effectuer la première navigation à partir de lundi, puis d’en enchainer autant que possible avant le premier stage d’entraînement proposé par le Pôle Finistère Course au Large, le 12 février prochain. Pour ces premiers tests sur l’eau, j’ai prévu de réaliser une campagne de speed-test (tests de vitesse, ndlr) avec Pierre Leboucher qui travaille avec le même maître- voilier que moi, en l’occurrence Technique Voile. Le directeur technique de la voilerie, Fred Duthil, sera à mes côtés à bord et c’est aussi lui que j’ai choisi pour participer à la Sardinha Cup, l’épreuve qui ouvrira la saison dès la fin du mois de mars. Fred est à la fois un grand champion et quelqu’un de très intuitif. Il m’apportera assurément beaucoup pour la suite, et notamment en vue de la Solitaire Urgo – Le Figaro, la course phare de la saison. »

Autre point positif, vous êtes aujourd’hui l’un des tous premiers à mettre à l’eau…

« En effet et c’est important pour moi. Maintenant, il est temps d’aller tester le matériel surtout que la saison qui s’ouvre est assez particulière. Je suis très content de continuer de régater sur le circuit des Figaro Bénéteau car il va, à coup, sûr y avoir de la super bagarre avec le retour de nombreux anciens vainqueurs de la Solitaire et plein de très grands champions. Je mesure pleinement la chance que j’ai de pouvoir continuer à être là, surtout une année comme celle-là. Reste que la première course va vraiment arriver très vite et que pour cette raison, il va être très important de se sentir rapidement à l’aise sur la machine. Ce sera, en effet, important de pouvoir rapidement sortir le nez du bateau et de pouvoir se concentrer sur la stratégie qui représente, naturellement, une part essentielle de la performance. »

Comment va s’articuler votre saison 2019 ?

« Six épreuves sont au programme du calendrier la classe cette année (lire ci-après, ndlr). Mon objectif et celui de la Région Normandie, est de toutes les faire. La spécificité de cette nouvelle saison, c’est qu’elle est très concentrée et qu’elle va nous faire parcourir de nombreux milles, avec la Sardinha Cup mais aussi une Solitaire dotée d’étapes assez longues. En résumé, 2019 promet d’être intense. Par ailleurs, si certains ont tendance à dire qu’avec l’arrivée du Figaro III, ça repart d’une page blanche, je suis pour ma part un peu moins radical. J’ai aujourd’hui 13 années de Figaro dans les pattes et je sais que cela est un atout. Il y a forcément une certaine routine sur certains points que je vais retrouver, des choses auxquelles je vais naturellement attacher plus ou moins d’importance car je connais les priorités. Je vais ainsi pouvoir me concentrer sur le bateau et j’avoue que j’ai hâte de voir ce que ça donne sur l’eau. La bonne nouvelle, c’est que des conditions assez variées sont annoncées pour la semaine prochaine. Cela va permettre de tester un peu toutes les allures et toutes les manœuvres. Ce sera une grosse étape de franchie. Mon idée, c’est de faire passer un maximum de monde à bord de Région Normandie pour avoir un maximum de regards différents. Je naviguerai notamment avec Sébastien Simon, le vainqueur en titre de la Solitaire du Figaro, lors du premier stage. Ce sera important de marquer les esprits dès le début. Idem lors de la Sardinha Cup. De fait, même si ça restera une épreuve d’apprentissage, ce sera important d’être dans le coup car à l’arrivée, on pourra déjà tirer pas mal de conclusions. »

 

Le calendrier d’Alexis Loison en 2019

 

  • Sardinha Cup entre Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Lisbonne, aller et retour, entre le 25 mars 2019 et le 14 avril. Course en double. Cette épreuve est une nouveauté.
  • Solo Maitre CoQ, aux Sables-d’Olonne, du 26 avril au 5 mai. Course en solitaire.
  • La Solo Concarneau, autour du 12 mai, ne comptera pas pour le championnat de France Élite de course au large, mais la course en solitaire sera qualificative pour la Solitaire Urgo Le Figaro.
  • Solitaire Urgo Le Figaro, du 26 mai au 30 juin, l’arrivée de la course est prévue à Dieppe. Course en solitaire et à étapes.
  • Douarnenez Horta entre Douarnenez et Horta (Açores), aller et retour. 21 juillet au 18 août. Course en solitaire.
  • Tour de Bretagne, du 1er au 14 septembre, parcours dévoilé lors du Nautic 2019. Course en double.

 

Perrine Laffont en mode Mondial

janvier, 31Perrine Laffont

Avec six podiums dont deux victoires sur les six épreuves de Coupe du Monde de ski de bosses courues depuis le début de saison, Perrine Laffont réalise, pour l’instant, un parcours sans-faute et mène le classement général avec un bon matelas d’avance sur sa poursuivante australienne. Avant de reprendre le chemin de cette Coupe du Monde avec une étape à Tazawako au Japon les 23 et 24 février puis à Shymbulak au Kasakhstan les 2 et 3 mars, la Championne Olympique participera au Championnat du Monde de la spécialité, les 8 et 9 février à Park City. Interview…

  • Peux-tu revenir sur ton parcours depuis le début de la Coupe du Monde à Ruka le 7 décembre ?

J’ai réalisé un début de saison très positif. Je suis satisfaite de ma régularité. Je n’avais jamais réussi à enchaîner comme ça auparavant. En 2018, j’étais montée trois fois de suite sur le podium. Là, cela fait six fois. C’est une première pour moi. Je suis d’ailleurs la seule athlète à avoir réussi cet enchaînement cette année. Même Mikaël Kingsbury, le roi de la discipline, n’a pas réussi cette performance (4 podiums). A Ruka, pour la première étape de la Coupe du Monde, j’ai gagné. Je ne m’attendais pas à ce résultat car je ne savais pas si mon nouveau run allait plaire aux juges. Ce premier acte m’a prouvé que j’étais capable. J’ai ensuite réussi à dérouler sur les autres étapes même si à Calgary et à Mont Tremblant, cela n’a pas été simple.

  • Pourquoi ?

A Calgary, je n’arrivais pas à passer mon nouveau saut, le D Spin, comme je le voulais en entraînement. La piste était très exigeante. J’étais brouillonne. Il faut dire que ce nouveau saut me sort de ma zone de confort ! A Mont Tremblant, nous avons eu qu’un seul jour d’entraînement ce qui est très peu. Il faut savoir que les trainings avant les compétitions sont souvent très courts et on a toujours pas mal de pression car on veut bien faire, analyser la piste, se mettre dans les bonnes conditions… en très peu de temps. Pour finir, cela s’est bien passé à Mont Tremblant puisque je gagne.

  • Tu as un niveau de ski qui fait la différence ?

Cela a toujours été mon point fort. J’ai une base solide en ski. Je ne me prends pas trop la tête avec ça. C’est assez naturel chez moi ! A Mont Tremblant, je ne prends que la moitié des points avec mon D Spin. J’ai encore une grande marge de progression sur les sauts

 

  • Comment abordes-tu le Championnat du Monde, l’un de tes objectifs importants ?

Forcément, je suis la personne à abattre (rires) car je fais un bon début de saison. J’arrive en tant que favorite mais je ne me focalise pas sur cette étiquette. Je me concentre sur moi. Je vais sur ce Mondial pour essayer de faire mon meilleur run ce qui n’a pas encore été le cas depuis le début de la saison. Il y a encore pas mal d’imperfections. L’idée est d’essayer de revenir, tout de même, de Park City avec deux médailles, l’une en single et l’autre en parallèle.

  • Tu es depuis un moment en Amérique du Nord. As-tu le temps de faire autre chose que du ski ?

Je dors beaucoup, parfois 10 à 12 heures par nuit. Je me concentre sur ma récupération. J’ai fait un peu de shopping à Montréal mais il faisait vraiment très froid. Je passe beaucoup de temps en salle de musculation et un peu à la piscine. En fait, nous enchaînons beaucoup depuis quelques semaines. J’aurais plus de temps en mars.

Le Belem en cale sèche à Marseille

janvier, 22Belem

Le trois-mâts Belem sera en cale sèche à Marseille du 21 janvier au 28 février 2019 pour y subir au chantier Sud Marine Shipyard ses travaux annuels d’entretien des œuvres vives (parties immergées). Il reviendra ensuite à Port-Vendres jusqu’au 1er avril où il reprendra la mer pour 7 mois de navigation.

 » Le Belem va être caréné comme chaque année lors de son hivernage » déclare Christelle de Larauze, déléguée générale de la Fondation Belem. « C’est le chantier Sud Marine Shipyard qui a été sélectionné sur appel d’offre pour cet arrêt technique. Le Belem est le plus vieux bateau au monde inscrit au Bureau Veritas qui impose à la Fondation Belem une mise à sec annuelle du navire pour son bon entretien et le maintien de la sécurité à bord. Il sera inspecté à Marseille fin février afin de renouveler son permis de navigation. Il reviendra ensuite en Occitanie pour les derniers préparatifs avant le départ du navire le 1er avril 2019 pour 7 mois de navigation : au programme la Méditerranée, l’Atlantique, la Scandinavie, les îles britanniques… Le navire participera également à la très attendue Armada de Rouen du 7 au 16 juin 2019. »

Perrine Laffont en forme !

décembre, 20Perrine Laffont
Training at the FIS Freestyle Ski moguls World Cup event held in Thaiwoo (CHN). Photo: Mateusz Kielpinski (FIS)

La Championne Olympique de ski de bosses, Perrine Laffont, a débuté de la plus belle des manières sa saison en Coupe du Monde en gagnant à Ruka en Finlande puis en terminant troisième en single et deuxième en parallèle en Chine le week-end dernier, un cadeau de noël avant l’heure pour l’ariégeoise… Interview.

Quel bilan tires-tu de ces deux premières étapes de la Coupe du Monde de ski de bosses ?
Trois courses, trois podiums, c’est une première pour moi. Je n’ai jamais réalisé un début de saison comme ça même s’il y a un peu de frustration de ne pas avoir gardé la tête de la Coupe du Monde puisque l’américaine Jaelin Kauf a fait le doublé en Chine.

Mais tu as mis en place un nouveau run contrairement à ton adversaire directe ?
Oui c’est vrai. Il y a encore du travail sur ce run mais je ne suis pas loin de le maîtriser notamment le D Spin. On va dire que je manque un peu de régularité. En Chine, je gagne les qualifications. Je suis un peu moins bien ensuite. Je vais m’entraîner les 27, 28 et 29 décembre à Tignes afin de continuer ma montée en puissance sur ce run. Je vais aussi participer à la Coupe de France le 27, un bon moyen de rester dans la compétition avant d’enchainer le 12 janvier avec la troisième étape de la Coupe du Monde à Calgary au Canada.

Tu participeras en fin de semaine au trophée Andros à Andorre, un peu de détente ?
J’aime conduire et j’ai répondu oui quand l’un de mes partenaires, Hyundai, m’a proposé de venir. Cela sera une première pour moi de conduire sur un circuit et sur la glace. Et puis je vais avoir un sacré coach en la personne de Dani Sordo.

Qu’as-tu demandé au père Noël ?
Une rencontre avec Antoine Griezman (rires).

Sport responsable – Generali : les vainqueurs sont …

décembre, 19Sport responsable

En cette fin de journée s’est tenue la remise des Trophées du Sport responsable au Stade de France à Paris. À l’initiative de Generali, 320 structures sportives ont répondu, en 2018, à l’appel Sport responsable qui met à l’honneur des actions exemplaires.

Le FC Médoc Côte d’Argent, Sesame, le centre équestre poney-club d’Orléans, l’union athlétique Albenasienne, le Blagnac Rugby Club, le Castres Sports Nautiques, le club omnisports des Ulis remportent les trophées 2018 dans leurs catégories et ont reçu, des mains de Sébastien Chabal, président du jury, et de nombreux experts présents, leurs récompenses.

La démarche Sport responsable, après sept ans d’existence, continue à prendre de l’ampleur. Elle compte désormais 15 institutions sportives à avoir signé la charte du Sport responsable avec la Fédération Française de Baseball et Softball qui a rejoint l’initiative ce jour.  Rendez-vous en 2019 pour une nouvelle édition et la découverte de nouvelles actions vertueuses dans le monde du sport amateur et professionnel.

Elise Ginioux, membre du comité exécutif, en charge de la communication des affaires publiques et de la RSE : « La démarche Sport responsable est une initiative à laquelle nous sommes attachés car elle permet de d’illustrer dans le domaine du sport nos engagements en matière de développement durable. Outre la performance individuelle et collective, le sport est un vecteur essentiel de lien social, d’éducation et d’intégration, de santé et de respect de l’environnement qui sont à mettre en lumière. »

Sébastien Chabal, président du jury des trophées du Sport responsable : « Nous avons encore vu et récompensé ce soir de belles initiatives de structures qui viennent des quatre coins de la France. Elles viennent grâce à beaucoup de volonté et d’envie. Nous pouvons être fiers d’avoir mis à l’honneur de si beaux exemples dans le sport. Sport responsable est en train de se propager et c’est vraiment une bonne chose. Rendez-vous en 2019 ! »

Greg Martin, FC Médoc Côte d’Argent, vainqueur dans la catégorie « fairplay et citoyenneté » : « J’étais travailleur social auprès de personnes âgées mais cela s’est terminé avec mon employeur. Pendant ma période de chômage, je suis devenu éducateur bénévole autour du FC Médoc et j’ai rapidement eu l’idée de créer du lien entre les jeunes du club de football et les personnes âgées. Depuis, nous avons 60 personnes âgées qui viennent à la rencontre des enfants très régulièrement pour des activités de prévention à la dépendance. Ils échangent et discutent via des ateliers de mémoire, d’équilibre ou de gym et ça marche puisque les enfants expriment leur envie de rencontrer d’autres générations. Certains me disent d’ailleurs que s’il n’y avait pas ces ateliers, ils ne verraient jamais les personnes âgées… »

Marianne Gazeau, SESAME, vainqueur dans la catégorie « acteurs engagés » : « Nous sommes une TPE de 10 personnes qui agit en conseil pour l’international. Nous avons créé le projet « foot d’elles » qui a pour but de promouvoir à travers des actions concrètes comme un tournoi, un prix Foot d’Elles, un futur festival… l’égalité femmes – hommes dans le football. L’idée est que les femmes aient accès au football comme les hommes. Nous portons ce sujet en Interne à travers notre équipe de football au féminin mais aussi en externe en encourageant les entreprises à nous rejoindre dans notre démarche. »

Pascal Deboudt, centre équestre poney-club d’Orléans, vainqueur dans la catégorie « éco-responsabilité » : « L’Eco-responsabilité est dans notre ADN depuis 30 ans. C’est naturel pour nous ! Nous avons mis en place depuis toujours différentes actions en matière d’écologie comme des structures uniquement en bois, la dématérialisation totale de notre courrier, des initiatives pédagogiques pour les jeunes, la traction animale pour éviter un tracteur, un accès à la mobilité réduite… C’est l’addition de ces initiatives qui font de nous un club éco-responsable. La semaine européenne de l’éco-responsabilité a été un moteur ces dernières années pour nous afin de continuer notre démarche et nous sommes fiers d’être vainqueur des trophées Sport responsable dans la catégorie qui nous importe le plus. »

Ingrid Miralles, union sportive athlétique Albenasienne, vainqueur dans la catégorie « mixité » : « Nous sommes un nouveau bureau au sein du club et nous récupérons le fruit du travail des anciens dirigeants. Nous sommes tous des militants pour la mixité et le sport pour les femmes. L’un de nos entraîneurs vit dans le quartier des Oliviers de Aubenas et nous l’aidons fortement à sensibiliser les familles et les jeunes, notamment les filles, de cet environnement afin de s’inscrire dans notre club. Nous leur facilitons la tâche financièrement en prenant en charge les licences. C’est une action de tous les jours qui passe par beaucoup de dialogue puis le bruit de bouche à oreille. L’idée est d’avoir la confiance des familles afin de faciliter l’incorporation des filles à notre sport et ça marche. »

Benoît Trey, Blagnac Rugby Club, vainqueur dans la catégorie « insertion et reconversion » : « Nous agissons sur deux volets : le sportif et le social. Nous avons mis en place un dispositif pour la formation de nos jeunes sportifs avec un cadre clair et une ligne de conduite aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Ces dernières sont à égalité avec les hommes dans notre club. Elle bénéficie des mêmes installations et des mêmes partenaires ce qui est assez rare. Nous avons également une commission « emploi et formation » qui permet aux sportifs de se former en parallèle de la pratique du rugby avec des stages et un accès à notre réseau d’entreprises. Cela débouche souvent sur des CDI ! Enfin, nous travaillons avec les deux lycées de Blagnac afin que le ballon ovale ait à nouveau sa place en milieu scolaire. Nous venons d’embaucher une éducatrice pour cette mission. J’ajoute que nous n’oublions pas les jeunes isolés puisque nous avons un partenariat fort avec l’association Rebond qui, entre autres, permet à ces jeunes de découvrir le rugby et de se raccrocher à une discipline sportive. »

Jérôme Py, Castres Sports Nautiques, vainqueur dans la catégorie « accessibilité » : « Depuis longtemps, nous mettons en place des activités pour les personnes en situation de handicap. C’est notre réflexion de base. Nous pratiquons par exemple la plongée et nous en proposons pour les handicapés. Nous espérons avoir une nouvelle piscine dans les années qui viennent et nous voulons prioritairement une fosse de plongée adaptée aux handicapés. Pour cela, nous formons des encadrants capables de répondre à ces demandes. De plus, nous sommes le seul club du département labellisé par la Fédération Française Handisport. Enfin, nous organisons depuis six ans un meeting de natation mixte. »

Alain Fauvel, Club Omnisports des Ulis, vainqueur dans la catégorie « santé et prévention » : « Un club omnisport ce n’est pas une addition de discipline sportive, c’est plutôt une vision qui permet à tous de pratiquer un sport et souvent de résoudre certains problèmes de sociétés. De notre côté, dans un environnement économique difficile, nous proposons à un large public la pratique du sport « loisir » et en compétition. Nous nous sommes rendus compte ces derniers temps que la population des Ulis était de plus en plus vieillissante alors nous avons mis en place neuf sections capables d’accueillir des personnes ayant des pathologies. En rapport avec les médecins traitants et la Fédération Française des clubs omnisports et après un diagnostic, nous proposons des activités particulières à chacun en rapport avec leurs maux. »

Pierre-Yves Orlianges, Association Rouennaise de Football, deuxième dans la catégorie « fairplay et citoyenneté » : « Depuis 2016, en association avec Terre d’Asile, nous accueillons des migrants au sein de notre club pour des entraînements et la compétition. Cela a commencé en 2016 avec des Soudanais. Depuis, plus de 15 migrants viennent régulièrement jouer au football avec nous. Nous les équipons, on prend leurs licences et ils sont totalement intégrés dans notre club qui prône la mixité d’âge, de religion et sociale. Nous sommes très peu de clubs à le faire en France mais nous donnons l’exemple et nous intervenons régulièrement au sein de la Fédération Française de football pour expliquer comment on s’y prend. »

Sandra Mure-Ravaud, Montpellier Métropole Hockey Club, deuxième dans la catégorie « mixité » : « Le Hockey est un sport mixte. Toutes équipes et à tous niveaux peuvent être composées de femmes et d’hommes. De notre côté, nous avons 2 à 3 filles dans chaque équipe à tous niveaux et tout âge. Nous avons même deux jeunes filles en moins de 15 ans et moins de 18 ans en National intégrée dans des équipes à majorité masculine. Nous organisons une journée « porte ouverte » pour les filles afin de les attirer et nous sommes très soutenues en communication par notre fédération dans ce sens. »   

Un monocoque de 60 pieds IMOCA en construction pour Thomas Ruyant

décembre, 13Ruyant

TR Racing, la nouvelle structure du navigateur – entrepreneur Thomas Ruyant, a mis en construction début août 2018 un monocoque de 60 pieds IMOCA « dernière génération » destiné à disputer le prochain Vendée Globe en 2020. Un groupe d’investisseurs épaule le navigateur Dunkerquois dans sa démarche.

Les dessins du voilier sont signés Guillaume Verdier et c’est le chantier Italien Persico qui procède actuellement à la construction du bateau. La mise à l’eau est prévue pour juillet 2019.

TR Racing est à la recherche de partenaires pour soutenir son programme sportif. C’est véritablement un projet haut de gamme unique, clé en main, que propose Thomas Ruyant.

Thomas Ruyant : « Ce projet intègre toute mon expérience, tout mon savoir-faire glané sur tous les supports et depuis près de 20 ans, de Mini Transats en Route du Rhum en Solitaire du Figaro ou Vendée Globe. Grâce à un groupe d’investisseurs, mes équipes techniques et logistiques sont constituées et la construction progresse dans le bon tempo pour aborder sereinement le prochain Vendée Globe. Il me faut maintenant réunir des hommes et des entreprises sensibles à la passion qui nous habite et désireux de partager ensemble une formidable aventure. »

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Le programme sportif : il sera composé de toutes les épreuves du circuit IMOCA, nouvellement renommé « l’IMOCA Globe Series », ce qui inclut la Jacques Vabre 2019, la Transat Anglaise et la Transat New York-Les Sables en 2020 avant le Vendée Globe 2020-2021. Par la suite, il y aura aussi la Route du Rhum 2022.  

L’équipe TR Racing par Thomas : « Laurent Bourgués, avec qui je travaille depuis plusieurs années, est en charge de la coordination technique. Le team s’est renforcé avec François Pernelle comme responsable du bureau d’étude. Antoine Koch travaille avec nous sur la phase de conception avec des dossiers bien précis comme les appendices ou le plan de voilure. Marcus Hutchinson a également rejoint l’équipe et apportera sa longue expérience de la course au large… »

La Fondation Belem propose 1200 places pour embarquer à bord du trois-mâts en 2019 entre Nice et Stockholm  

décembre, 7Belem

La Fondation Belem a dévoilé ce matin la saison 2019 du trois-mâts Belem avec 25 navigations ouvertes à tous entre 3 et 9 jours sur un parcours maritime d’une ampleur exemplaire : début de saison en Méditerranée – Côte d’Azur, golfe du Lion, Costa Brava. Puis contournement de l’Espagne et du Portugal via Gibraltar, printemps en atlantique destination la mer du Nord et la Baltique jusqu’en Suède (Stockholm) via les Pays-Bas (La Haye), le Danemark, la Norvège (Oslo), l’Ecosse (Edimbourg) et l’Angleterre (Londres).  Ce programme sera présenté au Nautic de Paris sur le stand de la Fondation Hall 1 D1 et les amoureux du Belem, novices ou initiés, peuvent dès maintenant réserver leur navigation sur www.fondationbelem.com.

Ces navigations s’adressent à tous dès 14 ans : pas besoin d’être voileux, amariné ou sportif, il suffit juste d’être curieux et d’avoir envie de participer à la vie à bord d’un trois-mâts de légende, encadré par un équipage de 16 marins professionnels. Un programme parsemé de mouillages et véritables escales au cœur des îles telles que Gotland, Scilly, Wight, Jersey.

Le Belem, présent à l’Armada de Rouen, est ouvert 38 jours tout au long de la saison 

Une saison rythmée par la participation du navire aux trois plus importants évènements maritimes en 2019 : Débords de Loire à Nantes, la très attendue Armada de Rouen et la Tall Ships Regatta entre Le Havre et Aalborg au Danemark. Un tour d’Europe au cours duquel le trois-mâts ouvre ses ponts aux visiteurs sur 38 journées d’escale à Port-Vendres, Nice, Marseille, Sète, Bordeaux, Nantes, Rouen, La Haye, Dunkerque, Dieppe, Calais, Saint-Malo et Granville.

Un espace interactif au Nautic

Pour ce temps fort hivernal, la fondation quitte ses bureaux pour aller à la rencontre de son public au Nautic de Paris Porte de Versailles (8-16 décembre). Elle propose aux visiteurs du salon un espace interactif de découverte de son programme, un lieu de rencontre et d’échange avec des membres d’équipage et d’anciens navigants ainsi qu’un bureau plus confidentiel pour s’inscrire à une navigation. Temps fort commercial également avec 10 jours de « prix spécial salon » pour toute inscription effectuée avant le 16 décembre 2018.

Informations presse : vous êtes les bienvenus sur le stand de la Fondation Belem lors du Nautic de Paris afin de rencontrer l‘équipe de la Fondation et nous faire part de vos envies de navigation à bord du Belem en 2019 !

TB Press, pour les engagements sociétaux

novembre, 30BLOG

Generali
Maison des familles des Apprentis d’Auteuils
11 rue du Puits à Mulhouse
© Jean Francois Badias / Andia.fr

L’Agence TB Press s’est spécialisée ces dernières années dans la mise en avant d’engagements sociétaux forts… C’est le cas avec le Multi50 Solidaires En Peloton – ARSEP qui porte les couleurs des 100 000 patients atteints de la Sclérose En Plaques, avec l’association Le Souffle du Nord qui booste de belles initiatives solidaires dans les Hauts-de-France, avec la Team Aïna qui à travers le voilier Aïna, enfance et avenir soutient les enfants démunis malgaches mais également avec Generali France. L’assureur français est un pionnier en la matière et, en toute discrétion, met en place des actions particulièrement vertueuses. La démarche Sport responsable est un bon exemple de l’implication de Generali ou comment zoomer sur des structures sportives ayant des initiatives en matière d’éco-responsabilité, d’insertion, de reconversion, de santé, de fairplay… La Fondation The Human Safety Net est enfin une superbe idée d’aide à la parentalité. TB Press est fière de contribuer à la médiatisation de ces engagements à travers des retombées significatives en presse locale, régionale et nationale.

Zoom sur THSN !

Un programme national d’aide à la parentalité

Le programme THSN pour les familles de la fondation Generali a pour but d’accroître les chances de réussite des enfants issus de milieux défavorisés et vulnérables via des actions à destination de leurs parents. En soutenant neuf initiatives locales d’aide à la parentalité, comme celle de la Maison des familles de Bordeaux, la fondation THSN crée un réseau national de solidarité inédit.

D’ici 2019, Generali ambitionne d’ouvrir des « espace THSN pour les familles » en partenariat avec 4 autres associations : la sauvegarde des familles de Bordeaux, Intermèdes Robinson, Ecole des parents et des éducateurs des Bouches du Rhône et Restos bébé du cœur d’Agen. sur chaque site associatif.

Jean-Laurent Granier, Président-Directeur général de Generali France : « L’objectif est d’aller au-delà de notre métier d’assureur, tout en activant les mécanismes fondamentaux de solidarité et de mutualisation qui le régissent, pour constituer un réseau d’entraide international. »

 

A propos de l’association Le Souffle du Nord :

Créée en 2015 sur le territoire des Hauts-de-France, l’association Le Souffle du Nord a pour ambition de révéler les initiatives positives, donner l’envie et l’opportunité d’agir utile en mobilisant, reliant, encourageant tous les acteurs de la région.

En 2018, elle accompagne 2 grands défis sportifs porteurs de sens :

  • Une transatlantique en voilier pour vaincre la maladie de Crohn : Romain Rossi, navigateur amateur, sera au départ de la « Route du Rhum – Destination Guadeloupe » 2018 sur un Class40 sur lequel toute la visibilité est offerte à la Fondation DigestScience
  • Un rallye raid en buggy pour éduquer les plus jeunes à la citoyenneté : Axel Allétru, athlète de haut niveau handi-valide de 28 ans, sera au départ du Dakar 2020 à bord d’un SSV aux couleurs d’EducapCity.

 

A propos de la sclérose en plaques et de la Fondation ARSEP

Maladie inflammatoire du système nerveux central chronique et invalidante, la Sclérose en Plaques survient dans la majorité des cas chez de jeunes adultes, autour de 30 ans. Elle touche 100 000 personnes en France et 2,3 millions dans le monde. 4 000 nouveaux cas par an sont diagnostiqués en France, soit 1 cas toutes les 4 heures et 3 malades sur 4 sont des femmes. C’est également 800 enfants touchés.
Ni la cause, ni le remède ne sont connus actuellement. Seuls existent des traitements symptomatiques de la maladie, la recherche est l’unique espoir des patients pour que demain l’on puisse guérir.
Issue de l’ARSEP créée en 1969, la Fondation pour l’aide à la recherche sur la Sclérose ePlaques (ARSEP), née le 18 avril 2010, est la seule Fondation reconnue d’utilité publique se dévouant exclusivement à la recherche sur la Sclérose en Plaques. Elle a deux missions essentielles :
– Financer les équipes de recherche qui étudient cette pathologie
– Informer et sensibiliser le public sur les avancées médicales, thérapeutiques et scientifiques.
Son Comité Médico-Scientifique, présidé par le Pr Thibault Moreau (CHU Dijon), sélectionne selon une procédure rigoureuse et impartiale les meilleurs projets de Recherche auxquels sont attribués annuellement près de 2 millions d’euros.Habilitée à recevoir des legs et donations, la Fondation ARSEP ne fait appel qu’à des dons privés et ne perçoit aucune subvention.
https://www.arsep.org/

A propos de Solidaires En Peloton
« Solidaires En Peloton » (SEP comme sclérose eplaques) est la marque sportive qui représente la Fondation ARSEP lors d’événements sportifs. Son but est de faire connaître la sclérose en plaques au plus grand nombre et de communiquer sur les bienfaits du sport dans cette maladie grâce à son implication dans de nombreux événements en donnant de la force à ceux qui n’en ont pas. C’est aussi un moyen de collecter des fonds au profit de la Fondation ARSEP et donc de la recherche sur la maladie.

A propos du Défi Voile Solidaires En Peloton
Créé en 2012 par Victorien Erussard et Thibaut Vauchel-Camus, le Défi Voile Solidaires En Peloton prend racine lors d’une discussion entre amis. Les frères d’une patiente, désemparés par la souffrance de leur soeur et ne sachant plus comme l’aider, se confient à Thibaut et Victorien. Ces derniers, affectés, décident alors de sortir du modèle du sponsoring classique de leurs projets voiles pour les mettre au service d’une cause. Des partenaires mécènes ainsi que des particuliers vont alors soutenir financièrement le budget de fonctionnement du Défi Voile afin que la Fondation ARSEP soit pleinement bénéficiaire des dons générés par cette mise en lumière.
Un important pôle de partenaires engagés se forme (Sanofi genzyme, Thelem Assurances, Delanchy, Tomate Jouno, Concept Ty…), pérennisant l’action au fil des ans.