L’aide à la parentalité sous les projecteurs !

Lancée en 2007, l’opération de mécénat Atout Soleil permet aux associations qui le souhaitent de soutenir des projets innovants en faveur d’un public fragilisé. Cette année, en lien avec la mission que s’est donnée Generali, à travers sa fondation THSN (The Human Safety Net), d’aider les familles défavorisées de France via un programme d’aide à la parentalité, le thème « Des épaules et des ailes pour accompagner les enfants » a naturellement été proposé pour le prix Atout Soleil. Au total, 70 projets ont été présentés par les parrains Generali. Un jury, composé d’experts, de professionnels de la santé et de personnalités extérieures, a alors sélectionné quinze associations qui ont été récompensées ce soir à l’occasion de la remise des prix Atout Soleil qui se déroulait salle Wagram à Paris. A cette occasion, l’association AFL Transition basée à Toulon a été doublement récompensée puisqu’elle a reçu également le prix « The Human Safety Net pour les Familles ».

Il a dit :

Jean-Marc Darras, Secrétaire GPMA, à l’origine de l’opération Atout Soleil : « La remise des prix Atout Soleil est toujours un moment d’échange fort. Elle est un bon moyen pour chaque association primée de se mettre en contact et de discuter de leurs bonnes pratiques en lien avec l’aide à la parentalité. Je tiens à féliciter toutes les associations pour leur engagement constant et particulièrement AFL Transition qui remporte notre nouveau prix « The Human Safety Net ». AFL Transition intègrera le programme Pour les Familles de la fondation The Human Safety Net.  Les 15 associations (voir détails ci-après) sont primées pour l’intérêt de leur projet, l’efficacité de leurs actions ou le caractère innovant de leur approche. Elle se verront attribuer une dotation financière mais aussi proposer un accompagnement, avec notamment trois ateliers sur des thèmes utiles (nouveau plan comptable, design thinking et animations d’une communauté sur les réseaux sociaux..). Les associations choisies proposent des lieux de rencontre ouverts aux parents et à leurs enfants (espaces, maisons, crèches), des ateliers d’accompagnement des parents (gestion du budget familial, nutrition…), des activités favorisant les échanges entre parents et avec les enfants (animations, sorties ludo-éducatives, événements culturels) ainsi que la possibilité offerte à des bénévoles de s’engager (soutien scolaire, lecture, informatique…). Bravo à elles et rendez-vous en 2020 pour une nouvelle année Atout Soleil et la découverte de nouvelles structures qui œuvrent quotidiennement pour les familles et le lien entre parents et enfants. »

AFL Transition, lauréate du prix « The Human Safety Net pour les familles »

Depuis 2000, l’association Toulonnaise, vient en aide aux familles grâce à des équipes pluridisciplinaires pour modifier les relations éducatives et intra-familliales vers un “mieux vivre ensemble”. Elle œuvre dans une optique de prévention primaire précoce c’est-à-dire pour assurer un lien affectif stable entre l’enfant et le(s) parent(s) dans la petite enfance pour prévenir une délinquance en grandissant. Son projet « Pause-Parent », récompensé par le Prix Atout Soleil, consiste à accompagner les jeunes parents. « Concrètement, nous proposons des espaces d’accueil en périnatalité pour les parents et leurs enfants âgés de 0 à 6 ans. Élaborés sur le modèle des maisons vertes et d’ateliers du lien parents-enfants et du vivre ensemble, ceux-ci sont pensés pour accompagner les parents au quotidien dans leurs questionnements psycho éducatifs », explique Nathalie Rocailleux, psychologue clinicienne, fondatrice de l’AFL Transition.

En complément de cet accueil, l’association propose des ateliers d’éveil et de baby massages, de soins aux nourrissons, des ateliers de créativité parents-enfants, des partages de repas et des consultations psychologiques individuelles et familiales. « Nous le savons tous, l’éducation d’un enfant demande réflexion et conscience mais ne peut s’accommoder de “recettes” toutes faites.  Parce que l’histoire de chacun est singulière, votre enfant a besoin d’un accompagnement singulier et adapté. Et ce long chemin avec lui nous pose questions : comment lui apprendre à se faire respecter, à respecter l’autre, à supporter la frustration ? Comment réagir sans violence face à son agressivité ?  Comment dire non ? … autant de questions intimes – dépendant de notre histoire particulière – ou communes à tous qui peuvent ajouter aux difficultés pratiques que tous les parents de jeunes enfants rencontrent dans leur quotidien », détaille Nathalie Rocailleux.

J Composites a 25 ans !

Le Nautic de Paris qui se tiendra du 7 au 15 décembre est l’occasion pour le chantier nautique J Composites de fêter ses 25 ans. Trois questions à Didier Le Moal, président directeur général de l’entreprise vendéenne à l’origine de nombreux voiliers à succès…

  1. Quelle est la genèse de J Composites ?

Tout a débuté en novembre 1994. Un peu avant, j’avais disputé avec des copains les premiers jeux mondiaux de la voile à La Rochelle en J/24. A cette occasion, j’ai rencontré Jeff Johnstone, constructeur américain des J Boats et je lui ai proposé de construire les J en Europe. Après des discussions, nous avons démarré l’histoire de J Composites en étant constructeur sous licence en France et nous avons livré un premier J/92 en décembre 1994. Ce J/92 a ensuite été exposé au salon de Londres. Il a fallu à l’époque expliquer à l’ensemble des revendeurs J, qu’il y avait désormais un constructeur J en Europe. La mayonnaise a alors pris peu à peu et nous avons fait en sorte de faire connaître les J sur les plans d’eaux. Je me rappelle que la ligne du J/92 faisait sensation avec sa carène tendue, son bout dehors et un spi asymétrique. Il a fallu un peu de temps avant qu’une clientèle comprenne la philosophie des J.

  1. Justement, quelle est cette philosophie cultivée depuis 25 ans ?

Les J sont des voiliers sans compromis. Nous dessinons et imaginons des voiliers et ensuite on y met des aménagements. Nous concevons des voiliers taille par taille sans compromis. Ce sont d’ailleurs des voiliers et non des bateaux de course. Nous travaillons vraiment sur le triptyque : performance, finition et confort. Je ne pense pas que sur ce crédo nous avons des concurrents. Un J est unique !

  1. Pouvez-vous nous citer quelques temps forts de ces 25 ans ?

La création évidemment mais je pense également à la première victoire d’un J en France lors du Spi Ouest France 1996 en J/92. Le premier championnat monotype des J/80 à Saint-Quay-Portrieux restera aussi dans les annales de J Composites tant le J/80 a eu du succès par la suite (1600 unités dans le monde). Je pense également à la sortie du J/109 en 2000. Le J/109 est le premier voilier à avoir été totalement imaginé par J Composites. C’était un bateau made in France et il a été un coup de maître car nous en avons vendu plus de 400.

Une couronne mondiale pour Benoît Carpentier

Salvador hier, Benoît Carpentier remporte son premier grand titre planétaire en gagnant la finale du Championnat du Monde ISA de Stand Up Paddle. Le finistérien, sociétaire du Minou surf Club, réalise un sans-faute lors de l’acte final disputé devant l’italien Airton Cozzolino. Ce premier titre mondial, il avait terminé troisième en 2017 au Danemark, couronne le jeune brestois qui enchaîne depuis plusieurs années les belles performances en Stand Up Paddle Surfing, sa discipline de prédilection, mais également en longboard. Cette victoire est le fruit d’un investissement familial fort et d’une passion pour la glisse intacte depuis toujours. L’Equipe de France remporte également le titre convoité de Championne du Monde.   « Quel Championnat ! J’ai fait un sans-faute du début à la fin. Cette compétition a été incroyable pour moi. Le spot avec sa longue droite correspondait parfaitement à mon surf. C’est mon premier grand titre mondial. Je ne réalise pas encore vraiment la performance. De plus, l’ensemble de l’Equipe de France est Championne du Monde ce qui est une sacrée fierté collective. Cela fait 8 ans que je pratique le Stand Up Paddle Surfing à haut niveau. Je travaille tous les jours pour être de plus en plus fort et cette couronne est une vraie récompense. Je remercie fortement ma famille qui m’aide beaucoup et évidemment mes partenaires. » Benoît ne compte pas s’arrêter sur cette belle note. Le jeune français s’envolera dans quelques jours pour les Canaries et la dernière étape du tour mondial de la discipline. Il est actuellement septième au classement mondial et peut rêver du top 5.

Une saison de transition pour Perrine Laffont

La skieuse ariègeoise reprend du service le 7 décembre à Ruka en Finlande avec la première étape de la Coupe du Monde de ski de bosses. Perrine Laffont, tenante du titre de la dernière Coupe du Monde, avec 9 podiums sur 9 compétitions courues, est naturellement attendue sur les épreuves qui vont s’échelonner sur de nombreuses pistes du globe jusqu’au 15 mars 2020. La championne Olympique le sait mais envisage cette saison avec décontraction et sans pression suite à cinq années de travail acharné.

  1. Quels sont tes objectifs sur cette Coupe du Monde 2019 – 2020 ?

Je viens d’enchaîner cinq saisons très fortes en entraînement et en compétition. J’ai remporté beaucoup de titres dont le titre olympique mais également des titres sur les Championnats du Monde et en Coupe du Monde. La saison dernière a été puissante puisque j’ai même gagné mon premier gros globe de cristal. J’ai donc décidé de prendre la Coupe du Monde à venir avec un peu plus de légèreté sachant qu’il n’y a pas cette année de Championnat du Monde. Je prends la Coupe du Monde 2019 – 2020 comme une Coupe du Monde de transition avant d’accélérer à nouveau en vue des Championnats du Monde 2021 et les Jeux Olympiques de Pékin en 2022. Cela ne veut pas dire que je ne compte pas tout faire pour gagner mais si ce n’est pas le cas, je ne veux pas me prendre trop la tête !

  1. Comment t’es-tu préparée ?

Comme chaque année, avec l’Equipe de France de ski de bosses, je me suis entraînée en salle et en water jump pour les sauts. Puis nous avons été sur le glacier de Tignes puis fin août en Australie. Enfin, nous étions ces derniers jours en Suède à Idree afin de parfaire le travail sur les skis et en sauts. Ce stage a été bénéfique car les conditions de neige étaient bonnes et puis il y avait d’autres équipes sur place notamment les Américaines et les Japonaises. Je me suis sentie sur la bonne voie et j’ai même réussi quelques grabs en effectuant mes D Spin. Cette nouvelle figure ne sera pas prête pour les trois premières épreuves de la saison. Par la suite, en janvier et février, je tenterais peut-être cette nouvelle figure en compétition.

  1. Malgré votre impact inéluctable sur l’environnement, vous prenez souvent l’avion, tu es de plus en plus sensible au réchauffement climatique notamment la fonte de la neige. Peux-tu nous en dire un peu plus ?

Comme beaucoup, j’essaie quotidiennement de réduire mon impact en limitant l’usage du plastique, l’utilisation de la voiture, en essayant d’avoir de bonnes pratiques. J’essaie de changer de comportements. Je me sens très concernée face à ces problèmes de gestion de l’environnement car je pratique un sport qui est totalement lié à la nature. La fonte de la neige est un véritable problème. Je ne m’entraîne plus en France comme auparavant. Certains glaciers ont perdu beaucoup d’épaisseur en l’espace de 20 ans. Notre sport est peu à peu en danger. Je n’ai pas la solution mais je me vois bien militer et m’engager de plus en plus afin que nos autorités agissent encore plus. Il faut modifier notre façon de consommer et préserver Dame Nature comme il se doit. C’est pour moi une priorité.

Saison « record » pour la Fondation Belem !

Trois questions à Christelle de Larauze, déléguée générale de la Fondation Belem suite à la saison de navigation 2019 du trois-mâts Belem…

  1. Quel est le bilan 2019 de la Fondation Belem ?

Il est excellent. 1 100 navigants ont participé aux 24 navigations que nous avions programmées cette année. Le taux de remplissage est exceptionnel. Nous avons également accueilli 58 000 visiteurs lors des 14 escales du Belem, un peu partout dans les ports français et européens, un record pour ce musée itinérant allant à la rencontre de son public ! Le Belem plaît de plus en plus. Notre modèle fonctionne à merveille. L’authenticité du monument et la solidarité d’un équipage parlent à beaucoup de personnes en recherche d’engagement et de sens. Le Belem, c’est dans l’air du temps !  Les visites et navigations que l’on propose répondent aux attentes des gens, à savoir, allier l’histoire, la mer, l’expérience, l’aventure et de belles destinations. Nos navigations pour tous remportent toujours un vrai succès. Notre clientèle se renouvelle sans cesse. C’est vraiment bon signe pour l’avenir de la Fondation Belem qui s’inscrit dans un monde en perpétuel changement.
Plusieurs temps forts ont marqué la saison 2019, comme le démarrage de la saison en fanfare à Port-Vendres, les belles escales méditerranéennes, notre passage à Nantes pour la seconde édition de Débord de Loire, l’incroyable Armada de Rouen, les 2 étapes de la Tall Ship Regatta sans oublier les grandes navigations du Belem en Scandinavie, en Grande-Bretagne… Le Belem a parcouru la moitié d’un Tour du Monde en nombre de milles ! Il va maintenant être entretenu cet hiver à Nantes ou 6 000 visiteurs se sont déjà pressés pour le visiter début novembre !

  1. Justement, comment va se dérouler l’hivernage du Belem ?

Jusqu’en mars 2020, le Belem va se refaire une beauté. Il sera amarré au Ponton Belem, quai de la Fosse, à Nantes. Nous menons un programme d’entretien important comme chaque hiver : le Belem se doit d’être extrêmement bien entretenu pour accueillir jusqu’à 2.000 personnes en mer chaque saison. Entre 5 et 8 marins, hommes et femmes de notre équipage, seront sur le pont. Il reprendra la mer le 1er avril 2020.

  1. Le Nautic de Paris sera, comme chaque année, un moment important pour la Fondation, pourquoi et quelles sont les nouveautés pour cette édition du salon parisien ? 

La Fondation Belem regroupe une très petite équipe. Nous n’avons pas de boutique physique, uniquement une vitrine virtuelle :  le site officiel de la Fondation Belem, tout refait à neuf avec de très belles images vidéo. Cela reste très digital, alors que le Belem est avant tout une aventure humaine. Le Nautic est le meilleur moyen pour nous de rencontrer les amoureux du Belem et tous ceux qui souhaitent embarquer. C’est un temps de rencontre avec l’équipage, d’échange et de partage d’expérience. De nombreux bénévoles, tous fans du Belem, animent le stand, s’y donne rendez-vous et témoignent si bien qu’ils donnent envie aux nouveaux de tenter l’expérience Belem. C’est contagieux, l’enthousiasme et la passion …Le Nautic de Paris est le temps fort commercial de la Fondation Belem : nous y dévoilerons notre très attendu programme de navigation 2020 concocté dans le plus grand secret…. Et cerise sur le gâteau, la carte des navigations 2020 sera animée en motion design pour une mise en scène graphique des 27 parcours inédits…. De quoi faire perdre la raison aux amoureux du Belem qui en redemandent chaque année : 20% des navigants de l’année s’inscrivent durant les 10 jours du salon. Cette année, nous allons également diffuser notre nouveau film où Manon embarque pour la première fois à bord du trois-mâts Belem :  une expérience inédite de 8 jours en mer entre le Danemark et la Suède

Retrouvez la Fondation Belem au Nautic de Paris : stand H1D3
#ilovebelem

Atout Soleil 2019 : « Des épaules et des ailes pour accompagner les enfants »

I love you, dad! Handsome young man at home with his little cute girl are having fun together. Happy Father’s Day!

Lancée en 2007, l’opération de mécénat Atout Soleil permet aux associations qui le souhaitent de soutenir des projets innovants en faveur d’un public fragilisé. Cette année, en lien avec la mission que s’est donnée Generali, à travers sa fondation THSN (The Human Safety Net), d’aider les familles défavorisées de France via un programme d’aide à la parentalité, le thème « Des épaules et des ailes pour accompagner les enfants » a naturellement été proposé pour le prix Atout Soleil. Au total, 70 projets ont été présentés par les parrains Generali. Un jury, composé d’experts, de professionnels de la santé et de personnalités extérieures, a alors sélectionné quinze associations qui seront récompensées le 10 décembre prochain, date à laquelle sera par ailleurs dévoilé le lauréat du prix « The Human Safety Net pour les Familles », accordé par Generali.

Les six premières années de l’enfant : les plus importantes

Proposer un accompagnement à certaines initiatives en faveur de l’égalité des chances : telle est la vocation de l’appel à projet « Atout Soleil ». Quinze associations ont été choisies pour leur engagement sur ces thématiques familiales, la qualité de leur programme de suivi, la force de leur ancrage local et leur capacité à collaborer avec entreprises et associations, sur le territoire national. « La parentalité, ou fonction parentale, peut se définir comme l’ensemble des façons d’être et de vivre son rôle de parent. C’est un processus qui associe plusieurs dimensions (matérielle, culturelle, sociale…) afin d’assurer le soin et le développement de l’enfant. Les années de la naissance à la fin de l’école primaire sont décisives pour les enfants puisque c’est durant cette période qu’ils acquièrent leurs principales fonctions cognitives et motrices », explique Jean-Marc Darras, Secrétaire GPMA (Groupement Prévoyance Maladie Accident).

Solidarité et entraide

« Les associations choisies proposent des lieux de rencontre ouverts aux parents et à leurs enfants (espaces, maisons, crèches), des ateliers d’accompagnement des parents (gestion du budget familial, nutrition…), des activités favorisant les échanges entre parents et avec les enfants (animations, sorties ludo-éducatives, événements culturels) ainsi que la possibilité offerte à des bénévoles de s’engager (soutien scolaire, lecture, informatique…) », souligne le représentant de GPMA, acteur s’appuyant sur les intermédiaires d’assurance en portant des valeurs de solidarité et d’entraide. Des valeurs chères à son partenaire historique Generali, fier que cette opération de mécénat Atout Soleil, la 13e du nom, soit portée par ses réseaux de distribution impliqués en tant que parrains et récompensés avec leurs associations le 10 décembre prochain, salle Wagram, à Paris.

Nouveauté : le prix « The Human Safety Net pour les Familles »

« Ces 15 associations (voir détails ci-après) vont être primées pour l’intérêt de leur projet, l’efficacité de leurs actions ou le caractère innovant de leur approche. Elle se verront attribuer une dotation financière mais aussi proposer un accompagnement, avec notamment trois ateliers sur des thèmes utiles (nouveau plan comptable, design thinking et animations d’une communauté sur les réseaux sociaux. Toutefois, la grande nouveauté cette année est le prix « The Human Safety Net pour les Familles » », précise le Secrétaire GPMA. Celui-ci sera attribué à l’un des lauréats Atout Soleil dont l’objectif est de soutenir des enfants âgés de 0 à 6 ans, issus de familles vulnérables, en accompagnant leurs parents. « L’association à  qui sera décerné ce nouveau prix bénéficiera d’une dotation distribuée par GPMA puis d’un accompagnement de l’équipe The Human Safety Net pour apporter une expertise aux organismes soutenus, mais aussi de l’appui de collaborateurs de Generali », termine Jean-Marc Darras précisant que l’action de mécénat Atout Soleil soutenue par Generali, qui a, par le passé, abordé des thématiques relatives au handicap ou à la maladie entre autres, affiche depuis deux ans, une thématique privilégiant les actions liées à la parentalité, à l’enfance et à l’adolescence. Son objectif avoué : favoriser l’égalité des chances pour les enfants défavorisés.