Solidaires En Peloton : rapport d’étape

Route des Terre-Neuvas 2024

Depuis le chavirage de l’Ocean Fifty Solidaires En Peloton au sud de l’Espagne le 24 octobre 2024, Thibaut Vauchel-Camus et son équipe travaillent sans relâche. Après un remorquage vers Saint-Malo, le Défi Voile Solidaires En Peloton a rapidement trouvé son rythme afin de remettre son trimaran d’aplomb et de se tourner vers une saison 2025 pleine de promesses ! L’apogée sera sa participation à la Transat Café l’Or Le Havre Normandie dont il est le tenant du titre. Solidaires En Peloton sera remis à l’eau fin avril à Saint-Malo totalement optimisé pour réaliser de futures performances et mettre en avant France Sclérose En Plaques et les 130 000 patients français atteints de cette maladie. Explications avec le skipper de Solidaires En Peloton toujours aussi motivé par son métier de navigateur et d’entrepreneur…

Un chantier promptement mené

« Il est encore en cours mais nous ne sommes pas si loin du but. Après le chavirage et notre retour à Saint-Malo, il a fallu d’abord faire un gros constat du travail à faire. Dans notre malheur, nous avions le mât d’origine du bateau en stock ce qui nous a enlevé une épine du pied car même si nous avons récupéré 80% du mât, il n’était plus utilisable pour 2025. La casquette du trimaran a disparu lors du chavirage. Nous avions déjà prévu de la modifier. Nous en avons donc dessiné une nouvelle avec l’architecte du voilier Romaric Neyhousser, produit un nouveau moule et conçu à 100% une nouvelle casquette qui va d’ailleurs modifier visuellement l’aspect général de Solidaires En Peloton. Nous avons également réparé la bôme qui était endommagée, remplacé l’électronique, la structure aérodynamique à l’arrière de chaque bras de liaison et les winchs qui étaient usés et pas assez puissants. Nous avons également rajouté un point d’ancrage d’amure de gennaker afin d’assurer de meilleures transitions dans nos changements de voiles entre petit et grand gennaker. La décoration de Solidaires En Peloton, dans le même temps, a été mise à nu afin de la faire évoluer aux couleurs de France Sclérose En Plaques. Enfin, comme chaque hiver, nous avons révisé les voiles, bichonné la carène et nous avons contrôlé les appendices. Bref, nous ne nous sommes pas arrêtés. Huit intervenants se sont relayés sur ce chantier et nous avons été jusqu’à 12 à certains moments. Ce large chantier va nous permettre de retrouver notre Ocean Fifty fiabilisé et optimisé avec, pour finir, pas mal de modifications qui vont nous permettre d’être plus performants sur l’eau ».

Les grands partenaires de Solidaires En Peloton au rendez-vous

« J’ai reçu de nombreux soutiens suite à cette mésaventure. Je pense notamment au Groupe Delanchy, SFEE, B&B HOTELS, Groupe Magellim et Sanofi qui ont été très présents à mes côtés afin de trouver les bonnes solutions pour nous remettre en ordre de bataille pour la saison sportive 2025. Il y a un vrai esprit de solidarité dans le Défi Voile Solidaires En Peloton.” 

Vous avez dit Solidaire ?

« Comme depuis maintenant de nombreuses années, nous mettons en avant les 130 000 patients atteints de la Sclérose En Plaques ainsi que la Fondation France Sclérose En Plaques, anciennement ARSEP. Nous embarquerons cette année plus de 70 patients, soignants et accompagnants à bord de Solidaires En Peloton au fil de nos escales. Le 10 juin, nous organiserons, comme l’année dernière, un rallye des patients à Saint-Malo qui leur permettra de naviguer à bord du trimaran mais aussi à bord de voiliers de croisière. L’idée principal du Défi est à la fois de proposer un coup de projecteur à travers notre Ocean Fifty à France Sclérose En Plaques et aussi de démontrer qu’un patient atteint de la Sclérose En Plaques peut faire du sport et qu’il est particulièrement moteur. Enfin, ces événements sont un bon moyen de partager. »

Le programme sportif 2025

« Avec la Classe Ocean Fifty, nous avons concocté un super calendrier sportif avec deux premières étapes des Ocean Fifty à Saint-Malo du 12 au 15 juin et à Concarneau du 25 au 29 juin. Je suis très fier d’avoir pour la deuxième année consécutive une étape à la maison à Saint-Malo. Ces deux premières compétitions seront particulièrement intéressantes car elle allie parcours au contact et au large. Dès le 26 juillet, on prendra ensuite le départ de la fameuse Rolex Fastnet Race à laquelle je participerai pour la deuxième fois avec un esprit de revanche puisque nous avions abandonné la course avec Quentin Vlamynck il y a deux ans aux prises avec une avarie de mât alors que nous étions en tête à la sortie du Solent. Enfin, je serai au départ de la Transat Café de l’Or le 26 octobre au Havre et en direction de la Martinique. Je compte bien remettre mon titre en jeu et je réfléchis encore à la bonne personne pour m’accompagner dans ce périple transatlantique. »

Thomas Ruyant et le Vendée Globe ; sans rancune !

Résultat, digéré. Frustration, évacuée. Près de deux mois après avoir posé le pied sur la terre ferme des Sables d’Olonne, après 76 jours seul en mer aux prises avec son troisième Vendée Globe, Thomas Ruyant dispose de toute la lucidité pour analyser et repenser sereinement et sans faux fuyant son tour du monde. Sa 7ème place ne rassasie pas, loin s’en faut, le compétiteur toujours avide de succès qui sommeille en lui. Thomas accepte pourtant le verdict avec une grâce que vient réchauffer l’examen des temps forts de cette circumnavigation expresse, la plus relevée jamais observée, qui aura projeté la performance à des niveaux jamais effleuré par le passé, dans la riche histoire de l’épreuve. Thomas peut, en toute objectivité, affirmer y avoir pris toute sa place, animant notamment et de belle manière le début de course. Il a identifié et analysé avec ses équipes ces moment de basculement de la course, croc en jambes météos ou ses propres insuffisances, mais aussi ces instants magiques, et ils furent nombreux, où l’homme et sa machine ont su trouver ce point de symbiose avec les éléments, qui laissent aujourd’hui au Nordiste de délicieux souvenirs de glisse, de performance et d’absolu contentement.

L’édition magistrale
Débriefer une course aussi longue, aussi dense, aussi riche qu’un Vendée Globe prend du temps. Thomas a débuté ce long processus avec ses équipes et avec Antoine Koch, l’architecte de son VULNERABLE. Unanimement, chacun au sein des équipes de TR Racing s’accorde à souligner le caractère exceptionnel du niveau de compétition atteint par tous les protagonistes du haut des classements, ainsi que la capacité des Imocas dernière génération à encaisser et à performer dans le temps et dans l’adversité. . « On a vécu un Vendée Globe d’exception » souligne Thomas, « Et on a navigué à un niveau de performance jamais atteint. L’intensité de la course, y compris dans le Sud, a été phénoménale et je suis fier d’avoir été de ce combat. On a su jouer aux avant-postes et la décision s’est faite sur des choix de marins, face à de complexes péripéties météos. Avec un tel niveau d’engagement et de performances, les petites erreurs ne se rattrapent pas. »

Choix assumés, et tronçons magiques…
« Tout se joue pour moi dès l’entrée dans l’Indien avec cette grosse dépression que Charlie (Dalin)  et Seb (Simon) vont parvenir à traverser. J’arrive  une trentaine de milles trop tard et ce petit décalage me contraint à faire ce choix de route au Nord que je ne peux pas regretter, car c’était le bon choix d’un homme de mer. Ces 30 milles se transformeront en 500 milles de retard. Et contrairement à l’édition 2020, dans cet opus 2024 du Vendée Globe, ça partait toujours par devant, et cela ne revenait jamais par l’arrière. Je suis heureux pourtant de ma trajectoire dans le Pacifique où je parviens à semer des garçons aussi redoutables que Jérémie (Beyou) ou Nico (Lunven). Avec la descente de l’Atlantique Sud, cela a été le tronçon magique de mon Vendée Globe. Je crois qu’à ce moment de la course, j’avais fait le deuil du podium, et le bateau m’a alors offert mes plus beaux moments de navigation, toujours en pleine sécurité et dans un confort certes relatif, mais qui permettait sans trop souffrir d’atteindre et de demeurer à des vitesses très élevées dans la durée. »

Un voilier à la hauteur!
« Et c’est ce qui m’amène à considérer aussi la part de succès dans notre course. Le bateau a répondu largement à nos attentes, et son niveau de préparation était incroyable. Je remercie mes équipes, et cela va aussi aux préparateurs du bateau de Sam (Goodchild), qui termine lui aussi dans un état d’intégrité étonnant. Mis à part nos soucis de voile (J-2 pour moi et GV pour Sam), nos bateaux ne nous ont jamais trahi.  Mes deux précédents Vendée Globe avaient été marqués par des luttes incessantes contre la casse et les avaries. Cette fois-ci, jamais je n’ai été dépassé par ma machine, y compris lors de ces folles journées à plus de 600 milles. Je crois que je n’ai jamais été aussi à l’aise à ces hautes vitesses et dans la durée. J’ai pu creuser des écarts dans le Pacifique dans des conditions très dures, sur des mers très formées et dans le vent fort. On est parvenu à une maitrise et à une compréhension de nos grands foilers qui permet de tenir dans la durée des navigations sur le fil à très haute intensité. Je sais que je maitrise cet exercice. Ma course a basculé très tôt dès l’Indien, mais je me sens plus que jamais au niveau et à la hauteur de ces machines de l’extrême. Je vois mes petites erreurs, je discerne clairement les différentes phases de la course, en tête à l’équateur, cette descente vertigineuse de l’Atlantique, cet Indien piégeux où tout se joue, et se perd, ce beau Pacifique en maitrise, rapide et mouvementé, et cet Atlantique Sud infernal, où je perds mon J-2 et toute chance de défendre mes chances et de rentabiliser mes efforts d’avant le Horn. Mon capital confiance en ces foilers en ressort décuplé, et je connais ma capacité à animer cette Classe Imoca dans les années à venir. »

Le Belem dans les starting-blocks à La Rochelle

Après un chantier d’hivernage mené avec efficacité à La Pallice, qui a notamment permis les inspections annuelles et la restauration du mât de misaine ainsi que du plateau de hune, le trois-mâts Belem a retrouvé le bassin des chalutiers de La Rochelle depuis début mars. Il ouvrira ses ponts au public les 15,16, 22, 23, 29 et 30 mars. Les élèves des écoles rochelaises auront aussi l’opportunité de visiter le monument historique avant son départ prévu le 1er avril, début de sa grande saison de navigation. Informations pratiques :

  •  Dates des visites : week-ends des 15-16 mars, 22-23 mars et 29-30 mars 2025, de 10h à 17h30.
  •  Lieu : Bassin des Chalutiers, La Rochelle.
  •  Tarifs : 8€ pour les adultes, 4€ pour les enfants de 6 à 12 ans, gratuit pour les moins de 6 ans.
  •  Réservation : Réservation dès maintenant : Visiter le Belem ou à quai les jours de visites

Au cours de l’année 2025, le Belem participera à huit grands rassemblements nautiques en 2025, parmi lesquels : Salon Nautique d’Arcachon, Débord de Loire à Nantes, Millénaire de Caen, Tall Ships Races au Havre, Dunkerque et Aberdeen, Hanse Sail Rostock, Sail Bremerhaven et Sail Amsterdam, Escale à Calais.

Julia Simon, de nouveau reine des Mondiaux à Lenzerheide : « J’ai fait mon biathlon »

Imperméable aux qualificatifs les plus élogieux venus saluer ses récentes performances, Julia Simon se remet doucement, méthodiquement des intenses émotions, tant physiologiques que psychologiques des derniers championnats du monde disputés la semaine dernière à Lenzerheide en Suisse. La Beaufortaine, déjà symboliquement déclarée reine des Mondiaux l’an passé à Nove Mesto (Rép. Tchèque), se présentait cette année nimbée d’incertitude, après un début de saison en pointillés. Elle repart avec une nouvelle quadruple couronne mondiale, quatre médailles d’or dont une particulièrement chère à son coeur, celle de l’Individuel qui lui avait échappé l’an passé, sur ce format si exigeant. Elle franchit une nouvelle étape dans la hiérarchie mondiale des athlètes les plus sacrées sur des championnats du monde, avec désormais 13 médailles dont 10 en or, qui la placent à égalité pour la cinquième place des biathlètes féminines les plus titrées, à quelques longueurs de la légende Norvégienne Marte Olsbu-Roiseland.

Retrouver le naturel…
Actuellement 4ème de la Coupe du Monde, et dans le haut des classements des différents formats du biathlon, c’est pourtant sur la pointe des skis que Julia se présentait au départ de ces championnats du monde avec en tête un seul mot d’ordre, « simplicité ». Ou comment évacuer d’emblée la pression héritée de Mondiaux stratosphériques réalisés l’an passé, couronnés déjà de quatre titres. « Lenzerheide constituait bien l’objectif prioritaire de ma saison » avoue-t’elle. « Je me suis préparée de manière idéale aux Saisies, et la forme physique est revenue au bon moment. J’ai senti que j’avais la condition pour jouer devant. Cela met en confiance pour le tir et les bonnes sensations se sont enchainées. Le biathlon est un tout, un indissociable ensemble. Il me fallait retrouver mon naturel, faire « mon »  biathlon. »

Régularité au plus haut niveau
4 titres en 2024, et 4 titres en 2025. Julia écrase les bilans. Elle est désormais titrée sur tous les formats dont l’Individuel. « Ce n’est pas mon format favori, celui pour lequel je ne me sens pas taillée, et je ressens une grande fierté pour ce titre et pour mon bilan sur ces deux saisons. Il témoigne de ma régularité, de ma consistance au plus haut niveau. »

Surfer sur cette dynamique
Si Julia termine ces championnats du monde sur les genoux, elle conserve cependant intacte son envie de performer sur la fin de saison. Trois grands rendez-vous l’attendent dans le cadre de la Coupe du monde le mois prochain, à commencer dès le 6 mars prochain par Nove Mesto en République Tchèque. « J’ai quelques jours pour récupérer, refaire de l’énergie. Il me faut rester moi-même, simple et naturelle. Je veux m’appuyer sur ma forme actuelle et sur mon capital confiance pour terminer cette saison en beauté. Je suis en tout cas fière d’être au niveau des championnes que j’admirais plus jeune… »

La Course des Caps – Boulogne sur Mer – Banque Populaire du Nord : Un événement d’envergure se prépare à Boulogne-sur-Mer

Départ de la Guyader Bermudes 1000 Race 2023 à Brest, photographié par Jean-Louis Carli de l’agence Aléa.

Du 24 juin au 6 juillet 2025, dans désormais moins de cinq mois, Boulogne-sur-Mer vibrera au rythme de La Course des Caps – Boulogne sur Mer – Banque Populaire du Nord. Cet événement nautique majeur, orchestré par Sea to See et intégré au calendrier IMOCA, promet une semaine d’animations, de rencontres et de performances spectaculaires autour de la course au large. Véritable rendez-vous incontournable pour les amateurs de voile et les passionnés de sport, cette compétition réunira certains des meilleurs skippers du moment parmi lesquels les marins du Top 10 du Vendée Globe, prêts à s’affronter sur un parcours exigeant et palpitant autour des îles Britanniques. En sillonnant trois mers – la Mer du Nord, l’Atlantique Nord et la Manche – ils navigueront alors autour de plus de 6000 îles, avec un passage emblématique par la latitude 60° Nord. Mais au-delà de la performance sportive, cet événement s’inscrira dans une dynamique plus large de valorisation du patrimoine maritime de la région et de sensibilisation aux enjeux environnementaux liés à l’océan.  Dès le 24 juin, le quai des Paquebots se transformera en un village d’environ 20 000 m², un lieu où les amateurs de voile et simples curieux pourront plonger dans l’univers des monocoques de 60 pieds. 

Au-delà du spectacle en mer, l’événement offrira une expérience immersive à terre. Pensé comme un lieu de découverte et de partage, le village proposera une plongée captivante dans l’univers de la voile et du milieu maritime, à travers diverses animations proposées pour le grand public par nos partenaires : la région Hauts-de-France, la Communauté d’agglomération du Boulonnais ainsi que la Banque Populaire du Nord, acteur majeur de la voile depuis 30 ans. Un engagement pleinement assumé par l’enseigne, comme le souligne Nicolas Poughon dirigeant de la Banque Populaire du Nord : « Nous sommes très fiers de soutenir et d’associer notre nom à la Course des Caps Boulogne-sur-Mer Banque Populaire du Nord. Cet événement sportif d’envergure, en parfaite cohérence avec les engagements historiques de la Banque pour le monde de la voile et nos engagements autour de l’eau et de sa préservation, sera un magnifique coup de projecteur sur notre région et son littoral qui sont eux aussi au cœur de nos ambitions d’accompagnement territoriaux. De nombreuses animations grand public seront proposées sur le stand de la Banque autour du monde de la voile et de la préservation de la ressource eau. » Dans cette même dynamique, de nombreuses expériences éducatives seront également au programme, notamment autour de la science et de la biodiversité, afin de sensibiliser le public aux enjeux environnementaux du milieu maritime. L’événement proposera ainsi un équilibre entre performance sportive et transmission des savoirs, avec un programme rythmé par des temps forts incontournables. Le 27 juin sera une journée à ne pas manquer avec les runs de vitesse en rade. Ces courses spectaculaires mettront en scène les IMOCA, véritables « Formules 1 des mers » aux vitesses impressionnantes, offrant ainsi un spectacle époustouflant à observer depuis toute la côte. Le grand départ de la course aura lieu le 29 juin, et l’arrivée des premiers IMOCA est attendue pour le 6 juillet.

Une infrastructure moderne au service de l’événement

La Communauté d’Agglomération du Boulonnais installe un nouveau ponton le long du quai des Paquebots, qui contribuera au développement du port de plaisance de Boulogne-sur-Mer. Les travaux, débutés en janvier, avancent selon un calendrier rigoureux afin d’assurer une mise en service en mai. Conçue pour offrir des conditions optimales d’accueil, cette nouvelle installation pourra recevoir quinze IMOCA et jusqu’à 1 500 spectateurs, grâce à un espace de circulation garantissant fluidité et sécurité. La Course des Caps Boulogne sur Mer – Banque Populaire du Nord inaugurera ainsi ce dispositif, marquant une étape essentielle dans la modernisation du port et des équipements nautiques de Boulogne-sur-Mer. Par ailleurs, un kit pédagogique réalisé en partenariat avec Nausicaá et la Communauté d’Agglomération du Boulonnais est d’ores et déjà disponible sur le site internet de la course. Il permettra aux élèves du primaire de suivre l’événement dès février et de visiter les pontons pendant la semaine du village.

Une ambition affirmée pour Boulogne-sur-Mer

Frédéric Cuvillier, Maire de Boulogne-sur-Mer et Président de la Communauté d’Agglomération du Boulonnais, souligne : « La ville se prépare à accueillir un événement nautique majeur avec La Course des Caps – Banque Populaire du Nord, orchestrée par Sea to See, qui se déroulera du 24 juin au 6 juillet 2025. Grâce à leur expertise et leur volonté affirmée, cette compétition, intégrée au calendrier IMOCA, va venir renforcer l’identité maritime de la ville. Pour accompagner cette dynamique et garantir des conditions idéales aux skippers et à leurs équipes, un vaste projet d’aménagement a été lancé : la construction d’un quai flottant de 336 mètres de long et de quatre mètres de large, pensé pour répondre aux exigences des compétitions internationales et dynamiser les activités nautiques sur notre territoire. » Avec cette nouvelle édition de La Course des Caps Boulogne-sur-Mer Banque Populaire du Nord confirme son engagement en faveur de la voile et sa place de choix dans le monde de la course au large.

Passion OCEAN

Passion métier avec le boss de notre Agence et un passage dans la chronique France Inter de José-Manuel Lamarque.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/chroniques-littorales/chroniques-littorales-du-vendredi-14-fevrier-2025-7270546?fbclid=IwY2xjawIcVLlleHRuA2FlbQIxMQABHaEZCUCPAwq61EK0sf5xxcVPvRj_IT9K8JPgv4wXIh6viQrgeF29PC9bSw_aem_LYhJZDbwjFGiz7BiJk_-Fw

Photo Vincent Curutchet