Aere perennius !

Il l’a fait ! Le skipper Britannique de VULNERABLE Sam Goodchild, bizut de ce 10ème Vendée Globe, est parvenu à ramener à bon port, et à une très honorable 9ème place son plan Verdier dont la grand voile s’était déchirée en deux voici 5 jours. Il est devancé d’une petite demi-heure par l’autre « foreigner » et « first timer » de ce Vendée Globe, la Suissesse Justine Mettraux. Difficile de dégager, au sortir de 76 jours d’un Vendée Globe riche en contrastes et en rebondissements, les atours les plus marquants de l’autre skipper, au côté de Thomas Ruyant, du Team TR Racing porteur de cette nouvelle manière d’aborder la vulnérabilité. Le plus Breton des Britanniques semble en effet s’être révélé sous grand nombre de jours, sportifs, marins, humains, communicant, aux observateurs et au grand public. 

Le battant débonnaire

En capacité de jouer en permanence les premiers rôles, souvent pointé en tête, Sam clôt sa première expérience seul autour du monde par un épisode herculéen, réparant seul et sur un pont balayé par la tempête, sa grand voile totalement déchirée. Aere perennius aurait dit Horace, plus dur que l’airain ! Illuminé de son inséparable sourire communicatif, Sam aura traversé toutes les épreuves sportives, techniques et tactiques avec un impressionnant sentiment de confiance absolue, de certitudes en ses choix, et de maitrise en sa machine et en ses trajectoires. Jamais le plus rapide, jamais le plus lent, mais toujours le plus efficace dans ses choix de route. Parti sans objectifs clairement définis, autres que de ramener son bateau aux Sables d’Olonne, Sam, sous des allures apparemment désinvoltes, s’est révélé un compétiteur acharné, un accro à la performance incapable de se contenter de demi mesure et d’à peu près. A 35 ans seulement, ce marin éclectique qui a déjà brillé sur tous les supports, s’affiche comme la figure montante de la Classe IMOCA.

24 fois en tête

Il n’est pas le premier bizut, il n’est pas le premier étranger de ce Vendée Globe, mais il en est assurément l’une des plus belle découverte. Il s’est rapidement révélé dès les premiers milles, annonçant dès l’Atlantique la couleur de l’efficacité à toutes les allures, concentré, humble, modeste en diable, avec ce lumineux sourire en toute occasion. Appliqué, déjà inspiré, il pointait vite aux avant postes dès la descente de l’Atlantique, occupant à 24 reprises, lors des pointages journaliers, la tête du peloton (Soit le troisième au nombre de pointages en tête derrière Dalin et Richomme…). Et alors qu’une impitoyable sélection s’opérait au sein de la flotte des 40 solitaires en lice, Sam installait sa routine, précis dans ses trajectoires, efficace en toutes circonstances. Son flegme prenait avec chaque mille un peu plus de pétillant, de lumière. Sam est heureux en mer, au très grand large, et avec l’éloignement de toute terre, semblait prendre de plus en plus de plaisir à ces navigations de l’extrême, au coeur du très grand sud, aux confins des solitudes antarctiques. Il abordait chaque épreuve, chaque croc en jambe de la météo et des éléments, chaque fait de course comme le nouvel épisode d’un feuilleton à vivre, à écrire, à explorer, à respirer. « Je ne savais pas dans quoi je m’embarquais, mais au final, je me suis bien amusé. » lâche -t’il tout à la joie de retrouver ses proches devant un large public Sablais. « Je n’avais pour réel objectif que de boucler la boucle, et accessoirement, me faire plaisir. C’est un succès, je suis là, et je me suis beaucoup amusé. » Mais alors, cette grand voile déchirée, et cette course qui bascule brutalement et à moins d’une semaine de l’arrivée dans un épisode de survie ? « C’est vrai que j’ai mis le mode compétition entre parenthèse à 1 200 milles de l’arrivée. J’ai refusé de me prendre la tête, tout comme je me suis interdit tout au long de la course, dans les moments difficiles, de me plaindre. Faire cette course est un privilège, un rêve que je caresse depuis que j’ai 10 ans. J’étais à la bagarre avec Jérémie Beyou qui, il y a 20 ans, était pour moi un demi dieu ! Ce Vendée Globe, c’est une chance qui m’a été offerte, grâce à Advens et au Team TR Racing. J’en ai dégusté les moindres parcelles.« 

L’ombre d’un rêve

Aucun Vendée Globe ne ressemble à un autre. Du vainqueur au dernier, de Titouan Lamazou à Charlie Dalin, ce tour du monde de tous les extrêmes raconte autant de tranches de vie et d’aventures dissemblables d’un skipper à l’autre, et toutes d’une infinie richesse technologique, humaine, voire philosophique. Pour son troisième tour du monde, le Nordiste Thomas Ruyant a une nouvelle fois, dans l’effort, dans la persévérance, et avec conviction, encore écrit une belle histoire, un roman au scénario par lui-même inenvisageable, improbable et déroutant. L’aventure, le combat physique et mental, la découverte, la quête incessante de la perfection nautique n’ont pas pris le visage qu’il s’était depuis si longtemps entraîné à ciseler. Ainsi va cet ultime challenge dans la vie d’un coureur au large, quand rien ne se déroule comme prévu et dont le marin groggy émerge souvent transfiguré par le fracas de ses rêves bouleversés. Il rêvait de victoire. Il termine à la 7ème place d’une édition historique, relevée comme jamais, dans laquelle il a pris toute sa part, de performances et d’émotions.

Je rate le coche…

Thomas Ruyant à bord de VULNERABLE, plan Koch-Finot Conq lancé en 2023, en a terminé ce matin à 05h49 avec son 3ème Vendée Globe. Le marin de 43 ans cueille les lauriers de la 7ème place, au terme de 75 jours, 16 heures et 47 minutes d’une course d’une rare intensité, engagée comme aucune des 9 précédentes éditions. Thomas aura su jusqu’à l’entrée dans l’Océan Indien, tenir ce rang de grand favori que nombre d’observateurs lui reconnaissaient au départ du 10 novembre dernier. Premier à franchir l’équateur, 2ème à Bonne Espérance, il n’aura pas su, ou pu, prendre le wagon décisif à l’orée de l’Océan Indien, qui décidera de l’issue de l’épreuve en permettant aux trois lauréats du podium de s’échapper. « Je rate le coche pour une quarantaine de milles » reconnait-il en refusant tout sentiment d’amertume. « J’ai fait mes choix en homme de mer, en considérant à un instant « T » les risques et les dangers du moment. Je les assume. » A l’aise dans les mers du sud, confiant en son extraordinaire machine taillée pour voler sur ces grosses mers formées, il parvient une première fois dans le Pacifique à creuser un écart conséquent en tête du groupe de poursuite. « Ce fut comme un nouveau départ pour moi, loin derrière les premiers mais au contact d’un  groupe sérieusement énervé, où évoluaient Jérémie Beyou, Paul Meilhat, Boris Herrmann, Nicolas Lunven, Sam Goodchild… Je croyais avoir fait le nécessaire pour m’offrir une remontée de l’Atlantique plus sereine ». 4ème à Leeuwin, il franchit le cap Horn bien calé à cette 4ème place le 27 décembre, après 47 jours et 5 heures seulement d’un incessant combat. L’Atlantique, si favorable à l’aller, avec des records de vitesse par 24 heures battus à plusieurs reprises et de nombreuses journées à plus de 550 milles avalés à des vitesses proprement phénoménales, lui tourne brutalement le dos. « Pour la deuxième fois, je me fais reprendre, bloqué par la météo. Puis survient la perte de mon J2, cette voile d’avant impérative, dont l’absence me fait de nouveau rater le bon wagon dans l’immense dorsale anticyclonique du Cap Frio. Je comprends alors ce qui m’attends, comme en 2020 avec la perte de mon foil. La terrible réalité du handicap me percute de plein fouet. Je sais que je ne joue alors plus dans la même cour que mes adversaires, et que la suite du parcours ne sera plus qu’une pénible histoire de compromis. »

Des émotions uniques

Thomas le guerrier fera dès lors étalage de son talent et de sa résilience, capable de trouver d’inédites combinaisons de voiles pour parvenir, au-delà de l’équateur, dans un alizé peu favorable à son plan de voilure inadapté, à entrer dans les régimes perturbés d’Atlantique Nord, sur une mer démontée et dans le vent tempétueux. « Cette course est une infinie succession de moments forts, d’émotions humaines et sportives uniques, qu’aucune autre course ne procure. » Le Vendée Globe se refuse ainsi au vainqueur des trois dernières transats majeures du circuit IMOCA. « Et pourtant, je ne parviens pas à le détester » avoue Thomas. « Cette course me rend fier, fier de l’avoir terminée, fier d’avoir été de cette édition extraordinaire. Tous les marins que me précèdent sont d’exceptionnels coureurs révélés, formés par la Solitaire du Figaro. Ils ont tiré cette course vers le haut, vers des sommets rarement atteints. J’avais la machine que je voulais pour relever ce défi. Elle ne m’a pas trahi, grâce au travail en amont des équipes de TR Racing et de mon partenaire Advens. Porter les couleurs de la vulnérabilité, avec mon camarade d’écurie Sam Goodchild, lui aussi grande révélation de ce Vendée Globe, et participer à l’avènement d’une nouvelle cause sociétale, la reconnaissance du poids et de la richesse de la vulnérabilité dans nos sociétés et pour notre planète, a été un moteur fort, constant durant la course et je suis heureux que le Vendée Globe ait ainsi, par sa notoriété et sa résonance, permis d’avancer sur cette prise de conscience positive de nos vulnérabilités. »

Joyeuses fêtes !

Joyeux noël à tous ! Vivement 2025 pour de nouvelles aventures et alors que le Vendée Globe va nous transporter en cette fin d’année !

Merci à l’ensemble de nos clients de nous faire confiance et de toujours allier SPORT et ENGAGEMENTS !

Merci à notre pool de compétence et à nos collaborateurs passionnés et engagés.

Plongez dans l’Odyssée des jeunes éclaireurs, un événement marqueur et marquant en 2024 pour l’Olympique Agence TB Press.

 

Alexandre Fayeulle, Président Advens Cybersécurité : « Une question de curseur ! »

Entrepreneur visionnaire, profondément humaniste, Alexandre Fayeulle révolutionnait en 2020 le sponsoring sportif en offrant à une association, LinkedOut, le nom de son tout nouvel Imoca, construit pour Thomas Ruyant dans l’optique du Vendée Globe 2020. Trois ans plus tard, il poussait un peu plus loin encore sa vision de l’utilisation du sport et de la course au large en particulier, pour transformer la société en créant une écurie de course au large à deux bateaux, portant tous le seul et même nom d’une grande campagne de sensibilisation et de transformation, appelée VULNERABLE.  Son objectif, contribuer à faire émerger un nouveau projet de société, qui place l’humain et le vivant au centre de tout, avec un credo tout droit inspiré du coeur de métier de ce leader de la cybersécurité à travers sa société Advens, « hacker » le logiciel de la société de la performance, qui épuise les individus, nos sociétés et la planète. Boulonnais bon teint, terrien viscéral, Alexandre a très vite, au contact de Thomas Ruyant, appris à déchiffrer le langage de la navigation hauturière. La passion faisant le reste, il jette un éclairage pertinent sur les 40 jours de course écoulés dans ce Vendée Globe de tous les superlatifs.

« Quelle intensité ! »

« Je suis très impressionné par le rythme, l’intensité de ce Vendée Globe. Je suis aussi très surpris de l’incroyable résistance des hommes et du matériel dans de telles conditions. C’est là à mon sens la clé de la seconde moitié du tour du monde, jusqu’à quel point les bateaux et les skippers vont pouvoir résister à cette cadence infernale et tenir la distance.
Quelle est la capacité des hommes et des machines à tenir encore un demi-tour du monde avec cette intensité ? On saura à l’arrivée qui a placé le curseur du compromis performance/préservation à la bonne hauteur. Les leaders n’ont-ils pas trop entamé leurs ressources, et de quelles réserves disposent-ils encore ? »

Le temps long…

« Le classement actuel est tout à fait logique et récompense ceux qui ont pris le plus de risques et mis le plus d’engagement. Sam et Thomas s’inscrivent parmi les plus prudents. Ils ont joué les premiers rôles jusqu’à l’Equateur. Ils s’inscrivent depuis dans la durée, et dans une logique de préservation. Qui aura eu raison à la fin ? Qui aura su placer le curseur au bon niveau ? Tout ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que les 2 skippers VULNERABLE sont en forme et leurs bateaux à 100% de leur potentiel. Même si le classement actuel est plutôt déceptif, j’apprécie leur sagesse, et leur capacité à accepter des événements défavorables. Thomas a gagné en maturité et assume ce choix de la prudence et du temps long. La seconde moitié de ce Vendée Globe est la plus difficile. Je suis convaincu que la fraicheur des hommes et l’intégrité préservée des bateaux seront des facteurs décisifs pour le sprint final en Atlantique. »

Prendre conscience de sa vulnérabilité.

« Ce Vendée Globe est la parfaite illustration des messages que nous souhaitons partager à travers notre campagne pour la prise de conscience de nos vulnérabilités.  Le culte de la performance à tout prix, en sport comme dans l’entreprise, a ses limites et mène à l’épuisement des individus, de nos sociétés et de la planète. Pour durer, il faut savoir préserver ses ressources et accepter ses limites, ainsi que le font Sam et Thomas, et on verra à l’arrivée si cette attitude aura payé sur cette course. Ménager sa monture paie à long terme. Je souhaite à Thomas et à Sam d’en faire la démonstration »

La campagne VULNERABLE

« L’accueil de la campagne par le grand public est exceptionnel depuis son lancement aux Sables d’Olonne. Notre stand y a accueilli entre 80 000 et 100 0000 visiteurs. Nous avions 1 000 supporters le long du chenal et 10 000 personnes se sont déjà abonnées sur notre site vulnerable.org. Par ailleurs, alors que nous démarrons seulement le volet professionnel du projet, déjà 500 entreprises ou organisations professionnelles nous ont rejoint. »

Thibault Anselmet en piste !

Atomic x Thibault Anselmet

Le vainqueur des deux dernières Coupe du Monde de ski alpinisme, Thibault Anselmet, fera son retour dans l’arène mondiale de sa discipline les 14 et 15 décembre à Courchevel. Le champion français, originaire de Bonneval-sur-Arc, aura pour objectif principal cette saison le championnat du Monde début mars à Morgins en Suisse et prépare déjà les Jeux Olympiques de Milan Cortina 2026.

« Plus la saison de Coupe du Monde approche, mieux je me sens et j’ai plutôt bien commencé ce week-end avec un nouveau titre de Champion de France en sprint » déclare t’il. « Cet été, la forme était bonne avec l’enchaînement de stages en altitude et en équipe de France et des tests chronométriques concluants. L’automne a été un peu plus difficile en sensation. Je compte prendre cette saison sportive un peu différemment en ne me focalisant pas obligatoirement sur le classement de la Coupe du Monde et en me donnant la possibilité de faire quelques impasses si besoin et selon ma forme. L’objectif est d’être en pic de performance en février afin d’être au plus haut niveau lors des Championnats du Monde à Morgins. Je vais prendre les courses les unes après les autres en me focalisant clairement sur ma préparation générale à moyen terme sur les Jeux de 2026. » Pragmatique Thibault et sans pression !

Calendrier 2024 – 2025 
Courchevel 14 et 15 décembre
Azerbaïdjan 9, 11 et 12 décembre
Arinsal 25 et 26 janvier 2025
Boi Taül 30 janvier, 1 et 2 février
Bormio 20 au 23 février
Schladming 12 au 15 mars
Val Martello 18 au 22 mars
Villars 1 au 5 avril
Tromso 8 au 13 avril
Championnat du Monde Morgins 2 au 8 mars

Prix « Atout Soleil » : un soutien à 15 associations engagées pour une « Génération zéro addiction »

Apporter un soutien aux associations qui développent des projets innovants en faveur d’un public fragilisé, c’est l’objectif que s’est fixée depuis 2007 l’opération de mécénat Atout Soleil, portée par le fonds de dotation « Nos Épaules et Vos Ailes » et GPMA, en collaboration avec l’assureur Generali et ses réseaux de distribution, dont La Médicale.
Pour sa 17ème édition, le prix Atout Soleil a été remis hier soir à Paris à 15 associations qui œuvrent concrètement sur nos territoires pour prévenir, protéger et accompagner les jeunes mais aussi leurs familles face aux multiples formes d’addictions : tabac, alcool, médicaments, cannabis, cocaïne, jeux d’argent, écrans, alimentation, sexe, etc.

Thierry Gaudeaux, Secrétaire de GPMA et Président du fonds de dotation Nos Épaules et vos Ailes : « Cette année, 92 associations de tout le territoire ont répondu à notre appel à projets, et nous avons été impressionnés par la diversité et la qualité des initiatives proposées. La sélection a été ardue, mais les 15 associations retenues se distinguent par l’originalité de leurs projets. Elles apportent des réponses concrètes et adaptées, tant pour prévenir les addictions que pour aider les jeunes à se libérer de leurs dépendances et accompagner leurs proches. Je remercie les collaborateurs des réseaux Generali et de La Médicale, qui ont parrainé et fait remonter ces initiatives locales, ainsi que le médecin psychiatre Jean-Victor Blanc, membre du jury de sélection des associations lauréates et grand témoin de cette édition. Par son expertise et sa pédagogie, il a su nous éclairer sur les problématiques complexes des addictions et, à travers les webinaires organisés dans le cadre du prix, il continue de sensibiliser un large public tout en brisant les tabous qui entourent ce sujet. »

Place donc aux lauréats :

L’association Addictions France Isère qui développe un outil adapté aux jeunes allophones pour les sensibiliser aux conduites addictives et qui forme les professionnels à son usage.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-addictions-france-isere-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association G-Addiction Jeunesse citoyenne, implantée à Nice, qui propose un escape game aux jeunes collégiens, lycéens et étudiants pour les sensibiliser à la thématique de la sécurité routière et des addictions.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-g-addiction-jeunesse-citoyenne-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

Le Centre d’accueil et de soins pour les toxicomanes (CAST), basé à Reims, qui a créé une bande dessinée pour sensibiliser les collégiens aux risques liés aux addictions.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-cast-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

Le Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes d’Île-de-France (CRIPS) qui porte un projet pour prévenir l’usage des jeux d’argent et de hasard grâce à un outil pédagogique mobilisant les compétences psychosociales des jeunes.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-crips-idf-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

Le Centre Interdisciplinaire de Recherche, Coordination des soins et Enseignement en Addictologie (CIRCEA), basé à Clermont-Ferrand, qui propose un programme de prévention des addictions en milieu sportif à destination des jeunes et des professionnels.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-circea-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association Al’Batross, implantée à Draguignan, qui déploie une équipe mobile dédiée à la prévention et à l’accompagnement des jeunes consommateurs de substances psychoactives.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-albatross-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association Épice 82, basée à Montauban, qui propose à des jeunes consommateurs de drogues une activité professionnelle payée à la journée assortie d’un accompagnement médico-psycho-social.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-epice-82-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association le Phare, basée à Lyon, qui développe des actions de prévention dès le plus jeune âge et soutient les familles qui font face à l’entrée dans l’addiction d’un de leurs enfants.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-le-phare-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association VoisinMalin qui recrute et forme des habitants de plusieurs quartiers prioritaires en France pour effectuer un travail de porte-à-porte en vue d’informer et de mobiliser leurs voisins sur des sujets liés aux addictions.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-voisinmalin-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

La Fondation ILDYS, implantée dans le Finistère, qui forme des éducateurs de jeunes vivant en foyer à la mise en place d’ateliers de prévention des conduites addictives.

https://www.gpma-asso.fr/ildys-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

La Fondation Seltzer, basée à Briançon, qui mène des actions de prévention ciblant les jeunes tant en milieu scolaire que festif et qui forme les professionnels.

https://www.gpma-asso.fr/la-fondation-seltzer-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association la Bergerie de Berdine, implantée dans le Vaucluse, qui offre aux jeunes addicts un hébergement sans contrepartie financière et sans limite de durée, en parallèle d’un parcours de reconstruction fondé sur le vivre ensemble, le travail et les vertus thérapeutiques de la nature.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-bergerie-de-berdine-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association CMSEA, implantée en Lorraine, qui agit pour prévenir ou réduire la primo consommation des enfants de parents dépendants.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-cmsea-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association Tremplin 17, implantée en Charente-Maritime, qui se sert de la réalité virtuelle pour agir sur les comportements addictifs des jeunes.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-tremplin-17-laureate-du-prix-atout-soleil-2024

L’association l’Arbre des Connaissances, implantée à Paris, qui conçoit et diffuse des outils de médiation scientifique sur les addictions pour faciliter les échanges entre les adolescents et les professionnels.

https://www.gpma-asso.fr/lassociation-larbre-des-connaissances-laureate-du-prix-atout-soleil-2024