Un Vendée Globe Majuscule

Maxime Sorel, skipper de l’IMOCA V and B – Mayenne à l’entrainement avant le départ du Vendée Globe 2020, mer d’Iroise le 29/08/2020, Photo © Jean-Marie LIOT / V and B-Mayenne

Quel final ! Cette neuvième édition est vraiment inédite. Mercredi et jeudi, 8 concurrents vont couper la ligne d’arrivée… Jamais un Tour du Monde en solo n’aura été si serré jusqu’à l’arrivée aux Sables d’Olonne. Et en plus de cette situation particulière, le premier en Vendée ne sera, peut-être, pas le premier au classement général, bonifications de Yannick Bestaven, Boris Herrmann et Jean  Le cam suite au sauvetage de Kévin Escoffier oblige ! Thomas Ruyant sera, on l’espère, sur le podium mais ce n’est pas certain. En tout cas, le nordiste n’aura rien à regretter tant il a été valeureux, combattant, quasi toujours dans le top 3 malgré beaucoup de soucis… Thomas est un grand, grand marin et son projet est en train de de venir un modèle de sponsoring. Cette course au changement qui laisse la place à LinkedOut afin de remettre à l’emploi des personnes en précarité… Merci Advens pour cet acte fondateur !  Chez TB Press, nous sommes heureux des nombreuses retombées qualitatives engendrées par LinkedOut – Vendée Globe et l’explosion des réseaux sociaux de Thomas. Chez TB Press, on est fier d’avoir contribué à médiatiser ce magnifique défi sociétal, sportif et technologique…. Chez TB Press, on est fier d’accompagner Thomas depuis 2005 ! Vivement maintenant l’arrivée !!

On aura également une autre arrivée, très, très attendue avec Maxime Sorel et son V and B – Mayenne samedi. Maxime va boucler son premier Tour du Monde avec classe ! Maxime entre dans la cour des grands. Maxime remportera un jour le Vendée Globe. Sa faculté à partager, à communiquer, sa faculté à performer a été un bonheur pour nous, communicants. V and B – Mayenne va sortir du Vendée Globe la tête haute et comme certainement le projet à retour sur investissement publicitaire le plus fort du plateau. Chapeau les Sorel et un grand merci à V and B et au département de la Mayenne qui ont cru au dynamisme du parrain national de Vaincre la Muco !

L’Agence TB Press active la communication de TR Racing, la structure de Thomas Ruyant (conseil stratégique, relations presse, influence digitale, éditorial), les relations presse de LinkedOut – Vendée Globe et les relations presse de Maxime Sorel, V and B – Mayenne.

Questions pour une championne

Perrine Laffont entame actuellement, avec l’équipe de France de ski de bosses, un stage de 15 jours à l’Alpe d’Huez. La championne Olympique, vainqueure des trois premières épreuves de la coupe du Monde 2020 – 2021, se rendra ensuite à Deer Valley aux USA les 4 et 5 février puis au Championnat du Monde de la discipline qui se dérouleront, pour finir, à Calgary au Canada les 24 et 25 février. Quelques questions…

  • Peux-tu nous reparler de ton super début de saison ?

Il a été évidemment hyper positif puisque je remporte 3 épreuves sur 3. J’avais quelques doutes avant le début de la Coupe du Monde. Ils sont maintenant effacés. Le travail avec le staff de l’Equipe de France a payé et ces victoires me motivent beaucoup pour la suite. J’ai été particulièrement satisfaite de ma victoire en parallèle à Idre car même si je suis double Championne du Monde dans cette spécialité je suis toujours stressée d’avoir une concurrente à côté de moi.

  • Comment s’est déroulée ta fin d’année ?

Je me suis ressourcée en famille dans les Pyrénées. J’ai totalement coupé auprès des miens. J’en ai profité pour faire des randonnées en raquette et pour prendre un maximum de repos.

  • Te voilà à l’Alpe d’Huez pour un stage. Quel est l’objectif de cette session d’entraînement ?

L’idée est de se remettre rapidement en jambe après une coupure d’un mois sans ski, de retrouver mes sensations, corriger quelques détails qui ont péchés afin de préparer au mieux les championnats du Monde, l’objectif numéro 1 de la saison. La piste concoctée par la Fédération Française de ski est nickel.

  • Cette saison est partie pour être particulière avec des annulations. Comment appréhendes-tu ton calendrier ?

Nous devions disputer les Championnats du Monde en Chine sur la piste des Jeux Olympiques de 2022. Toutes les étapes asiatiques ont été annulées à cause du contexte sanitaire. Je ne sais pas encore véritablement si l’étape de Coupe du Monde à Deer Valley va se tenir. C’est vrai que nous sommes pas mal dans l’incertitude et que cette saison de compétition va être assez courte. Je suis pragmatique, je m’adapte à la situation. Je prends les choses comme elles viennent. Je me dis que c’est une année comme ça. Je suis focus sur 2022 et je me dis que d’avoir un peu plus de temps à la maison en France peut être bénéfique pour la suite. Je vais prendre du plaisir sur les skis hors compétition, travailler différemment. Ce n’est, peut-être, pas si mal dans mon processus de préparation pour les prochains Jeux.

Un nouveau Mini bientôt à l’eau pour Pierre Le Roy

Il l’avait annoncé en juin 2019, le navigateur – amateur lillois Pierre Le Roy, cinquième de la dernière Mini Transat en voilier de série, a lancé la construction d’un prototype de 6m50 en vue d’une participation gagnante à la Mini Transat 2021 qui partira des Sables d’Olonne fin septembre en direction de la Guadeloupe via une escale aux Canaries.

Cette nouvelle unité high tech, signée David Raison, après la construction de la carène à Sète, est arrivée en octobre à Hennebont dans le Morbihan au chantier Nautymor pour un assemblage complet réalisé par Pierre Le Roy him self et son préparateur, Cédric Faron. Ce nouveau voilier à étrave ronde sera mis à l’eau courant janvier. Pierre, météorologue dans la vie, il travaille chez Météo France à Villeneuve d’Ascq, enchaînera par la suite des navigations d’entraînement avant de s’attaquer à l’ensemble des compétitions du circuit de la classe Mini et afin de se préparer pour son grand objectif de l’année, la mythique traversée de l’Atlantique en solitaire, sans assistance et sans communication avec la terre.

« J’ai hâte maintenant de me retrouver sur l’eau et d’apprendre à connaître mon nouveau petit monocoque » déclare Pierre, 35 ans. « Depuis son arrivée en Bretagne, nous n’avons pas chômé en installant tous les systèmes : l’accastillage, la quille, les safrans et en les peignant. Ce plan Raison 2019 sera très proche du « Maximum » qui a remporté la Mini avec Ian Lipinski et François Jambou mais il connaît des évolutions dans certains détails comme le mât et la structure intérieure. »

Pierre alterne actuellement périodes au chantier et travail dans le Nord. Il aspire à devenir skipper professionnel dans l’année et recherche actuellement un partenaire – titre qui pourrait avoir le nom de ce voilier. « Je travaille à 80% en ce moment chez Météo France. J’ai trouvé des partenaires secondaires qui vont m’accompagner. J’ai un armateur qui a permis la conception de ce Mini 6.50. J’ai besoin désormais de convaincre d’autres soutiens majeurs afin de me présenter aux Sables d’Olonne en septembre avec toutes les armes pour bien figurer au classement général des protos de la Mini Transat. » Pierre est structuré, jeune, dynamique. Il a prouvé ces dernières années ses capacités à performer en mer. Il s’apprête à mettre à l’eau un Mini très performant. Voici un navigateur qui a tout pour plaire !

Météorologue et marin

Pierre Le Roy a appris la voile du côté de Saint-Malo alors qu’il était enfant et qu’il résidait avec ses parents en région parisienne. « J’ai fait beaucoup d’optimist et de catamaran en école de voile pour le plaisir. J’ai rapidement adoré être sur l’eau sur un bateau. » Il a ensuite côtoyé l’école des Glénan et a fini par devenir moniteur de voile. Parti en Australie pour ses études, c’est à cette occasion qu’il découvre véritablement la régate et la course au large. Diplôme d’ingénieur des travaux de la météorologie en poche, il exerce à Lille et navigue du côté de la cité du corsaire Jean Bart, Dunkerque, avec l’équipage bien connu et chevronné mené par Philippe Bourgeois. Il fait alors ses classes au large au fil des courses de l’UNCL et du RORC. « Ces navigations avec Philippe Bourgeois et son équipage, la lecture d’un article dans un magazine sur la multiplicité des profils s’engageant en Mini 6.50 vont me convaincre de me lancer dans le grand bain. Je me faisais une montagne de la course en solitaire et du circuit Mini mais j’ai compris que c’était possible pour moi et j’avais emmagasiné par mal d’expérience. » A force de travail, Pierre Le Roy monte sur le podium de la Mini en Mai 2019 (3ème), accumule les top 10 et réalise une belle performance sur la Mini 2019. Le navigateur – météorologue est maintenant à maturité pour appréhender une machine à la voile plus complexe, plus rapide et légitimement formuler des objectifs sportifs importants.

Happy new year

Très, très bonne année 2021 !

Que du bonheur, du partage, du contact !

Notre clip TB Press à multiples visages qui comptent pour nous : https://www.youtube.com/watch?v=HFXWtyt3-OU

Joyeuses fêtes

Toute l’équipe de TB Press vous souhaite de belles fêtes de fin d’année !

2020 aura été une année spéciale, 2021 sera extraordinaire !

Vive la communication ! Vive les relations presse, l’éditorial, le conseil et l’influence !

On ne sera pas complétement fermé ces semaines prochaines, Vendée Globe oblige !

Rendez-vous très bientôt ici !

 

Thomas Ruyant reprend le commandement

Le skipper nordiste du voilier LinkedOut Thomas Ruyant s’est emparé cette nuit de la tête du Vendée Globe. Il reprend le commandement de l’épreuve, une première place qu’il avait abandonnée on s’en souvient le 23 novembre dernier en Atlantique, aux prises avec des soucis de hook qui l’avaient contraint à arrêter son bateau pour grimper, à quatre reprises, en tête de mât. S’était ensuivit cette sérieuse avarie sur son foil bâbord. C’est ainsi sérieusement diminué sur le bord le plus usité en travers d’un Océan Indien des mauvais jours qu’il s‘est attaché à revenir, patiemment et en multipliant d’ingéniosité, sur le leader Apivia. Ce dernier vient à son tour de connaitre des soucis techniques qui permettent à Thomas, bien positionné en son Sud ces dernières 40 heures, de reprendre le leadership.

 

Si Thomas a impressionné Yannick Bestaven, la réciproque est aussi vraie ; « Yannick va très vite » raconte Ruyant. « Il est très bien revenu ces deniers deux jours, qui étaient très favorables aux foilers, avec un angle au vent et un état de mer propices à bien utiliser ces appendices. Je ne suis malheureusement pas sur le bon côté et je dois beaucoup « charger » le bateau pour avancer (mettre beaucoup de toile ndlr). En utilisant à fond mes ballasts et en portant beaucoup de toile, je fais giter le bateau et peux ainsi m’appuyer sur le coude restant de mon foil. Ce n’est pas de la navigation en vol mais cela me permet de m’accrocher ».

 

Thomas devrait, dans les toutes prochaines heures, empanner enfin sur le « bon bord ». « Je sens que le vent prend déjà de l’Ouest » décrit-il. « Vivement le Nord-Ouest, même si nous serons alors au portant dans le lit du vent, en vitesse vmg, qui n’est pas favorable à l’utilisation des foils, je me sentirai mieux de pouvoir ainsi profiter à 100% de mon bateau. »

 

Le Vendée Globe connait donc aujourd’hui un nouveau tournant, le leader Apivia à son tour contrarié par des avaries. Yannick Bestaven a réglé les siennes et repart de plus belle. Thomas s’est intelligemment laissé glisser au Sud, et profite ce matin d’un peu plus de pression que son adversaire.  « Je suis désolé pour Charlie. J’ai été surpris de le voir ce matin quasiment arrêté » précise t’il, « Mais je ne vais pas ralentir. Je me suis battu pour être là où je suis aujourd’hui. Les prochaines heures sont propices à la vitesse, tandis que derrière, le groupe de chasse bute dans l’anticyclone. Je ne m’emballe pas. Je garde la tête froide, mais je suis content de me retrouver en tête après un demi-tour du monde. »

 

Les températures baissent drastiquement au fur et à mesure que LinkedOut plonge vers le Sud et les 50èmes. Thomas a sorti toute la panoplie de ses vêtement polaires. « Même avec les gants et le bonnet, ça caille à l’intérieur » s’amuse-t’il.  Alors qu’il entrevoit la sortie de l’Océan Indien, un nouvel état d’esprit s’empare du skipper Nordiste. « Je vais découvrir le Pacifique, n’ayant pu y entrer il y a 4 ans suite à mon abandon au sud de la Nouvelle-Zélande. J’ai hâte d’y être, et j’espère que la mer y sera moins difficile que dans l’Indien. C’est apaisant de savoir que l’on n’aura pas de grosses tempêtes à venir. Je me concentre sur ma course, mes trajectoires et mon bateau. Je ressens une certaine sérénité. »

 

3 victoires sur 3, 20ème victoire en Coupe du Monde !

Perrine Laffont a remporté en ce début d’après-midi son duel en finale contre l’Américaine Kauf. La championne Olympique de ski de bosses avait également gagné son épreuve en simple hier à Idree en Suède tout comme la compétition qui se déroulait le week-end dernier à Ruka en Finlande. L’athlète ariégeoise réalise un sans-faute donc depuis le début de la Coupe du Monde 2020 – 2021 avec trois victoires sur trois. C’est la 20ème victoire de Perrine en Coupe du Monde à seulement 22 ans. Place désormais à un repos mérité avant de reprendre la Coupe du Monde à Calgary au Canada du 21 au 23 janvier prochain.

« Forcément, je suis super contente de cette nouvelle victoire » déclare Perrine. « C’était un peu l’ascenseur émotionnel ce matin car il y avait beaucoup de brouillard sur la piste et pas mal d’incertitudes. La compétition a été stoppée 45 minutes. J’ai cru à l’annulation puis la visibilité est revenue et j’ai enchaîné. Une victoire en parallèle, cela fait toujours plaisir ! Nous avons fait avec l’Equipe de France et le staff un bon travail depuis quelques mois. Je ne savais pas sur quel pied dansé avant Ruka et je dois dire que cette première étape en Finlande m’a rassuré. Je passe maintenant le back japan, ce nouveau saut, sans fébrilité. Je le maîtrise sans trop réfléchir et surtout en parallèle où cela va plus vite. J’ai conscience d’avoir réalisé une année 2020 de haut vol même si elle a été un peu bizarre avec la crise sanitaire. Nous allons maintenant se préparer pour 2021. Les Championnats du Monde en Chine sont annulés et la FIS réfléchit à une alternative. Nous allons certainement avoir moins de courses en 2021. Je vais courir un peu moins à droite et à gauche et j’aurais l’opportunité de skier un peu plus pour le plaisir dans la poudreuse ! J’ajoute que je suis fière du doublé que nous avons effectué hier avec Ben Cavet qui gagne également en simple. Ce n’était pas arrivé pour des tricolores depuis 1995. »

Atout Soleil

En cette fin d’année, un bonheur de travailler pour Atout Soleil – GPMA – Generali et la mise en avant d’associations locales particulièrement actives face à la crise sanitaire… Voici quelques exemples de notre travail en relations presse et rédactionnel…

https://www.gpma-asso.fr/communiques-de-presse/

La Banque Populaire du Nord vise Paris 2024 : « Parce que la réussite est un parcours »

Dans la continuité de l’engagement du groupe BPCE en tant que partenaire premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, la Banque Populaire du Nord a décidé de s’associer à ce grand défi et initie un programme de soutien de sportifs.

La Banque Populaire du Nord parrainera en 2021 le kayakiste boulonnais, vice-champion Olympique à Rio, Maxime Beaumont ainsi que la jeune dunkerquoise kitesurfeuse Anaïs Mai Desjardins en vue de l’échéance parisienne. La banque coopérative nordiste sera également engagée auprès du club ASL Canoë-kayak Grand Arras qui regorge de jeunes talents.

Ils ont dit :

Fabrice Bouvier, directeur général Banque Populaire du Nord : « La Banque Populaire du Nord, ses collaborateurs sont très heureux de se lancer dans des partenariats sportifs en vue des Jeux de Paris 2024. Nous allons suivre le kayakiste Maxime Beaumont lors des Jeux de Tokyo 2021, Anaïs Mai Desjardins en vue de Paris 2024 et les talents du club de canoë-Kayak d’Arras ASL. Nous sommes une banque régionale et il nous semble important de participer au rayonnement de la région Hauts-de-France à travers la réussite d’acteurs de notre région. En tant qu’entreprise, nous avons un rôle à jouer dans notre environnement local. La dimension humaine, l’accompagnement de sportifs méritants a été aussi un facteur de notre choix. Maxime et Anaïs sont de grands champions. Enfin, ce partenariat sportif, dans la lignée des engagements du groupe BPCE en tant que partenaire premium des Jeux de Paris 2024, nous permettra de fédérer l’ensemble de nos collaborateurs autour des valeurs du sport et de valoriser la Banque Populaire du Nord auprès de nos clients. »

Anaïs Mai Desjardins : « La Banque Populaire me fait confiance depuis l’année dernière et maintenant cela se formalise encore plus. Je suis vraiment contente. Ils croient en moi et je vais tout donner pour leur rendre de belles copies sportives. Je vais faire mon maximum. A court terme, je veux entrer dans le top 10 au classement mondial féminin Kitefoil. A plus long terme, je rêve d’une médaille aux Jeux de Paris 2024 qui se tiendront à Marseille pour le Kite. Enfin, je veux démontrer qu’il est possible d’être sportif de haut niveau et s’accomplir professionnellement. Je suis actuellement en troisième année de médecine à Lille. »

Maxime Beaumont : « Je suis très content du soutien de la Banque Populaire du Nord qui devient mon partenaire le plus important. Dans ma préparation pour Tokyo, mon but ultime, le parrainage de la Banque Populaire du Nord va vraiment m’aider financièrement et surtout psychologiquement pour atteindre l’Or. Merci. »

Olivier Bayle, Président de l’ASL Canoë-Kayak : « Nous sommes heureux du soutien de la Banque Populaire du Nord à plusieurs titres. Depuis quelques années, nous cherchions à compléter notre budget avec des partenaires privés en sus des subventions publiques que nous recevons. C’est chose faite avec la Banque Populaire. Leur aide va nous permettre de soutenir l’excellence sportive, nos athlètes qui court à très haut niveau et nos talents qui ambitionnent Paris 2024. Ce soutien va également renforcer notre centre de préparation olympique, partager notre ambition olympique et certainement accueillir des délégations étrangères sur notre site. Enfin, il dynamisera, sans conteste, notre politique de formation des jeunes. »

A propos :

Anaïs Mai Desjardins en quelques lignes : 20 ans, dunkerquoise, Vice-championne de France 2020 en kitefoil catégorie senior, Championne de France Espoirs kitefoil 2019, championne d’Europe Junior Kitefoil 2018, championne du Monde de Kitesurf 2017 – « tour mondial Kitefoil Goldcup », Championne d’Europe U19 en Kitefoil, Membre de l’équipe de France depuis 2015, étudiante en 3ème année de Médecine à Lille.

Maxime Beaumont en quelques lignes : 38 ans, boulonnais, kayakiste, 2ème en K-1 (200m) au JO de Rio en 2016, Médaille d’or en équipe (K4 500m / 4 personnes sur 500m) au championnat du Monde de Szeged 2020, 5ème en K1 200m au championnat du Monde de Szeged 2020, Champion de France 2020 en K1 200m

Le club ASL Canoë Kayak Grand Arras est l’un des grands clubs français de canoë et de kayak. Il a été fondé en 1966. En 2020, il a remporté son 30e titre de Champion de France des clubs et est le club le plus titré en nombre de médailles individuelles avec 20 médailles d’or, 15 en argent et 19 en bronze. Il compte 340 adhérents et 1700 licenciés parmi lesquels 19 sportifs faisant partie de la liste ministérielle des athlètes de haut niveau dont Adrien Bart, médaillé de bronze aux Mondiaux de Canoë et qui vise Tokyo.

La Fondation pour le Pacte de Performance

Maxime et Anaïs sont soutenus par l’intermédiaire de la Fondation pour le Pacte de Performance qui a pour mission principale de promouvoir le sport comme vecteur de lien social, à travers des actions innovantes et reproductibles visant à soutenir, développer et faciliter l’insertion sociale et professionnelle dans et par le sport, la prévention de la santé par le sport ou encore la promotion du sport pour les handicapés. La Fondation du Sport Français, Fondation Henri Sérandour est reconnue d’utilité publique.

L’ambition de la Banque Populaire du Nord à travers ces partenariats : 

L’ambition de la Banque Populaire du Nord est d’aider à la réussite des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 dans toutes ses composantes :

  • la réussite sportive,
  • la dimension éducative et solidaire,
  • la réussite économique.

Pour la Banque Populaire du Nord cette ambition va se traduire par :

  • l’accompagnement de jeunes sportifs préparant les jeux de Tokyo 2020 et Paris 2024 ;
  • l’accompagnement de structures favorisant la pratique inclusive du sport et le développement de ses valeurs positives ;
  • l’accompagnement des acteurs économiques régionaux privés et publiques, afin qu’ils puissent bénéficier des opportunités économiques apportées par l’organisation des jeux ;
  • la mise en place d’une politique interne de développement de la pratique.

 

A propos de la Banque Populaire du Nord :

Depuis 100 ans, la Banque Populaire du Nord accompagne ses clients particuliers, artisans, commerçants, agriculteurs, professions libérales et entreprises en mettant à leur service son expertise dans les domaines de la banque et de l’assurance.

Banque régionale coopérative dont le capital est détenu par ses 129 000 sociétaires, elle fait partie du 2e groupe bancaire en France : le groupe BPCE.

Forte de ses 1 100 collaborateurs, elle accompagne aujourd’hui 300 000 clients sur le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, l’Aisne et les Ardennes. Elle maille son territoire avec 137 agences de proximité, 3 agences patrimoniales et 7 centres d’affaires d’entreprises.

Active dans les domaines de la création et de la transmission d’entreprise, elle dispose de tous les services spécialisés et des offres les plus élaborées pour offrir un service associant expertise et proximité.
La Banque Populaire du Nord est capable d’innover pour accompagner ses clients vers leurs ambitions les plus audacieuses sans perdre ce qui fait l’essentiel : la qualité de la relation entre un porteur de projet et son conseiller.

Banque autonome de plein exercice, la Banque Populaire du Nord contribue au développement de l’économie régionale avec la distribution de près de 1,9 milliards d’euros de prêts sur l’année 2019 (prêts aux particuliers et aux entreprises) portant son encours de crédits à 7,8 milliards d’euros au 31 décembre 2019. Les fondamentaux de la banque sont solides, avec pour l’exercice 2019, un PNB de 211,3 M€ et un résultat net de 41,6 M€ pour des fonds propres de 749 M€.

Responsable, engagée et à l’écoute des grands enjeux actuels, la Banque Populaire du Nord s’efforce de mobiliser l’épargne collectée sur son territoire au profit du financement des projets de ses clients particuliers, professionnels et des entreprises de sa région.

Revue de presse : Perrine Laffont

Quelques belles retombées signées Perrine Laffont ce week-end suite à sa 18ème victoire en Coupe du Monde à Ruka… RDV samedi et dimanche pour la suite des compétitions 2020 !

https://fr.sports.yahoo.com/news/bosses-perrine-laffont-démarre-trombe-165332836.html

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/ariege/foix/ariegeoise-perrine-laffont-remporte-premiere-etape-coupe-du-monde-ski-bosses-ruca-finlande-1902514.html

https://www.eurosport.fr/ski-acrobatique/coupe-du-monde-de-ski-de-bosses-ruka-perrine-laffont-debute-la-saison-par-une-victoire_vid1389601/video.shtml

https://www.lequipe.fr/Adrenaline/Ski-freestyle/Actualites/-une-petite-liberation-explique-perrine-laffont-apres-sa-victoire-a-ruka/1202243

https://www.lanouvellerepublique.fr/sports/bosses-perrine-laffont-demarre-en-trombe

https://www.ladepeche.fr/2020/12/05/ski-de-bosses-perrine-laffont-ne-laisse-que-des-miettes-a-ses-adversaires-9240365.php

https://www.lemonde.fr/sport/article/2020/12/07/la-bosseuse-record-pulverise-et-retour-du-public-ce-qu-il-fallait-aussi-retenir-du-week-end-sportif_6062443_3242.html

https://www.france.tv/france-3/stade-2/2106267-emission-du-dimanche-6-decembre-2020.html

https://www.tf1.fr/tf1/tf1-rendez-vous-sport/videos/tf1-rendez-vous-sport-du-6-decembre-2020-08045189.html

 

 

Une année à 100 à l’heure pour Solidaires En Peloton – ARSEP

10 000 milles parcourus, 400 personnes embarquées dont 120 patients atteints de la Sclérose En Plaques dans le cadre du SEPtour, le record SNSM en Multi50, une victoire sur la DRHeam Cup, des Grands Prix…, l’année 2020 de Solidaires En Peloton – ARSEP, mené par Thibaut Vauchel-Camus, a été riche en événements, en émotions et en embruns. Entretien avec Thibaut…

  • Alors ce SEPtour, un concentré d’émotions ?

Oh oui ! Le SEPtour a été l’occasion de partager avec les patients atteints de la Sclérose En Plaques et avec nos partenaires des bons moments de navigation dans toutes les conditions météorologiques. Il a été aussi un bon moyen de faire du repérage pour la classe Multi50 : explorer de nouveaux plans d’eau, rencontrer de nouveaux visages… Puis le contexte COVID a un peu renforcé le plaisir de venir se dé-confiner en mer et a intensifié les émotions ! Cette expérience a été très riche et en complète adéquation avec nos objectifs sportifs et solidaires.

  • Que retiens-tu de ton année sportive ?

Cette année, qui a été tronquée sportivement par la crise sanitaire, nous a permis de naviguer différemment avec notre trimaran. Nous avons enchaîné les sprints hauturiers en équipage et poussé la machine dans ses retranchements. Pour finir, nous nous entraînons assez peu dans une saison normale. Là, nous avons étudié pas mal de sujets liés à la performance. J’ai été heureux aussi d’embarquer des cadors de la course au large comme Billy Besson, Anthony Marchand, Louis Viat, Corentin Douguet, Antoine Joubert et des personnalités comme François Hollande, Michael Gregorio ou encore Laurent Ruquier.

  • Tu utilises ton Multi50 Solidaires En Peloton – ARSEP comme un trimaran de plage. Tu as multiplié les sorties en 2020. Est-ce si facile ?

Nous avons de plus en plus d’expérience à bord de Solidaires En Peloton – ARSEP. C’est en forgeant que l’on devient forgeron. Nous sommes de plus en plus à l’aise pour faire le show, s’offrir de belles sensations et révéler le super compromis des Multi50 à savoir : performance, voilier « tout terrain » et maniabilité.

  • Ton voilier est désormais en chantier à Lorient. Quels sont les objectifs techniques de l’hiver ?

Nous allons réviser et inspecter l’ensemble du trimaran, chasser encore du poids aussi. L’idée est également d’optimiser certains systèmes. Nous changeons le mât et la bôme et nous remplaçons certaines voiles d’origine.

  • Quel sera ton programme en 2021 ?

Nous prévoyons une mise à l’eau fin mars afin d’être opérationnel fin avril pour attaquer la saison. La Classe MULTI50 travaille sur un projet de circuit de 4 Grands Prix avec une communication innovante. Il y aura aussi et évidemment la Transat Jacques Vabre qui sera notre objectif majeur en 2021, sans oublier les compétitions multi-classes.

  • Tes partenaires seront-ils encore présents en 2021 pour mettre en avant la recherche contre la Sclérose En Plaques ?

Nous avons 50% de nos partenaires qui continuent. Nous cherchons activement l’autre moitié. Le fait que certains ne reconduisent pas leur engagement est autant lié aux conséquences économiques de la crise sanitaire qu’aux stratégies de communication.

Nous les remercions d’avoir partagé avec nous une aventure humaine incroyable, et sommes, avec toute la communauté des patients, très reconnaissants d’avoir été de véritables partenaires solidaires. Quant à ceux qui nous ont garanti de leur soutien pour un nouveau cycle, c’est extrêmement gratifiant et motivant !

Notre Défi Voile Solidaires En Peloton n’a pas fini de voguer sur les océans et de porter les couleurs des patients atteints de la Sclérose En Plaques. Le budget recherché, tenant compte des investissements nécessaires à la performance du bateau est de 400 000 €HT. A bon entendeur !

Perrine Laffont remet les compteurs à zéro

Ce samedi, Perrine Laffont participera à la première étape de la coupe du Monde de ski de bosses à Ruka. La championne Olympique aborde cette première épreuve avec beaucoup de détermination suite à une longue période d’entraînement avec l’Equipe de France. La sportive ariégeoise est arrivée en Finlande le week-end dernier. Elle est tenante du titre de cette compétition. « La piste est très pointue et il n’y a pas beaucoup de neige mais nous faisons avec. Lundi, nous nous sommes concentrés sur le ski et hier sur les sauts. J’ai encore quelques réglages à faire mais tout va bien. J’essaie de ne pas trop me prendre la tête. Je vais faire comme d’habitude. » Les courses sont prévues samedi après-midi. C’est parti pour la Coupe du Monde !

Alexandre Fayeulle, en immersion !

Président d’Advens, le premier pure-player français de la cybersécurité, Alexandre Fayeulle vit avec passion et intensité, en totale immersion, le Vendée Globe de Thomas Ruyant. On se souvient que le chef d’entreprise Nordiste avait, à l’occasion du départ de la précédente édition 2016, pris spontanément position et s’était engagé à soutenir le Dunkerquois dans ses projets à venir. Quatre ans de travail et d’engagement plus tard, Alexandre retrouve à terre cette place de témoin concerné des aventures de Thomas. Le projet LinkedOut est l’expression vivante de l’engagement sociétal souhaité par Alexandre dans sa démarche de sponsoring. En offrant le nom, la visibilité, la notoriété du bateau à LinkedOut, il révolutionne le sponsoring Voile tel qu’il est pratiqué en France depuis 3 décennies, en dépassant la recherche pure et exclusive de la notoriété, et en entrainant concrètement et véritablement d’autres entreprises dans son sillage. Entretien au terme de trois semaines de course, d’aventures et de rebondissements avec un chef d’entreprise visionnaire.

 

La course de Thomas

« Thomas réalise une bonne première partie de course. Il a été gêné dès le départ par des petits problèmes de hook, qui lui ont fait perdre un peu de temps et surtout pas mal d’énergie. Il a dû attendre l’entrée des alizés pour trouver son rythme et enfin exploiter pendant plusieurs jours le potentiel de son foiler, jusqu’à prendre la tête de la course. S’en est suivi une mauvaise passe où tout s’est mal enchaîné jusqu’à ce problème majeur sur son foil bâbord. Paradoxalement, la casse de son foil a mis un terme à cette mauvaise spirale, et en coupant son foil, il s’est recentré sur sa 2ème place et su prendre le recul suffisant pour reprendre sa marche en avant et retrouver le fil de la course. Depuis, je suis très agréablement surpris par ses bonnes performances sur ce bord tribord où il ne peut plus utiliser son foil. Dans des conditions de mer difficiles comme celles qu’il va connaître sur ce bord jusqu’au cap Horn, il y a finalement peu de différences, il n’est en tout cas pas moins rapide que ses poursuivants. Il sera certainement plus handicapé lors de la remontée de l’Atlantique. Mais d’ici là, il y a deux océans à traverser. »

Les ténors au tapis…

« En s’engageant dans cette aventure du Vendée Globe, on accepte d’emblée le corollaire de difficultés et d’avaries inhérentes à cette saga sportive de haut niveau. Je suis déçu des défections pour cause de casse matérielle des ténors de la course, Charal, Corum, Hugo Boss et à présent PRB. J’adore la compétition, et la perte de concurrents directs est vraiment dommage. »

Accro aux classements

« Je suis totalement immergé dans la course, accro aux classements, aux analyses, à la compréhension de ce qui se passe sur l’eau, 24 heures sur 24. On passe par toutes les émotions, de l’euphorie à la frustration, à l’inquiétude, … C’est génial! »

Le projet LinkedOut sur les rails !

« Je suis très heureux de voir le projet LinkedOut lancé sur de bons rails, malgré la conjoncture économique si défavorable. 9 des candidats au retour à l’emploi ont déjà été embauchés. 13 sont en phase d’entretiens, soutenus par des coachs – bénévoles. 103 opportunités d’emplois ont été offertes sur la plateforme LinkedOut et 66 entreprises y ont déjà déposé des annonces, ce qui est remarquable compte tenu de la situation que nous traversons. Le Vendée Globe offre une belle visibilité au dispositif LinkedOut, il incite au partage de CV, et ça marche ! Il faut aller beaucoup plus loin encore en mobilisant un plus grand nombre d’entreprises pour qu’elles recrutent ces profils différents qui ont des talents. Le Vendée Globe est à l’image de la vie. C’est une longue route souvent chaotique et ce qui est arrivé à Kevin hier, à Thomas il y a quatre ans, est à l’image de la vie. Ce parallèle parle aux personnes en précarité. Cette course leur offre un super shoot d’énergie et d’espoir ! La course au changement en faveur de l’Inclusion que nous avons imaginée est totalement en action ».  

Thomas Ruyant, une inspiration pour Advens

« Pour Advens, cette course est aussi une inspiration, à la fois par la dimension entrepreneuriale du projet de Thomas qui est similaire à la démarche suivie par Advens. On relève des défis, on surmonte des obstacles, on cherche le dépassement, la créativité dans un esprit très déterminé. On assume nos échecs, on les dissèque pour mieux les surmonter. Le Vendée Globe, c’est le profil de la vie. Il procure des émotions dont on se nourrit au quotidien. Et puis le projet LinkedOut nous ouvre les yeux sur notre société, sur notre responsabilité de permettre à chacun d’y trouver sa place. Je suis fier de l’engagement de 15 de nos collaborateurs en tant que bénévoles coachs, ils nous partagent leur quotidien et celui de leurs candidats, avec toutes les difficultés auxquelles ils font face, ainsi que les victoires, mêmes petites mais qui permettent d’avancer. Ils sont aussi très inspirants et nous éveillent sur l’urgence d’agir et de nous engager, chacun à notre mesure ! »

 

Les Lauréats des « Mardis solidaires d’Atout Soleil » : une aide financière pour mettre en valeur les actions d’associations locales face à la crise sanitaire

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Soutenir et valoriser des associations qui réalisent des projets innovants dans les domaines de la santé, de la prévoyance et de l’aide sociale, telle est la vocation de l’opération de mécénat Atout Soleil lancée en 2007 par l’association GPMA (Groupement Prévoyance Maladie Accident) et Generali.

Naturellement, au regard du contexte sanitaire et économique qui a fortement impacté le secteur associatif, Atout Soleil a décidé cette année d’apporter un soutien plus spécifique aux associations locales qui ont su adapter leurs initiatives pendant le confinement et la crise.

Les « Mardis solidaires d’Atout Soleil » récompenseront, courant décembre, 15 associations qui œuvrent à Amiens, Lyon et Nantes, toutes identifiées grâce à l’appui des parrains Generali, membres des réseaux commerciaux implantés localement.

Ces 15 associations lauréates recevront chacune une dotation financière de 5 000 euros afin de les aider à poursuivre leurs actions, ainsi que des kits sanitaires composés de masques et de gels hydroalcoolique pour celles qui en ont besoin.

 

Les lauréats sont…

15 associations lauréates identifiées sur les territoires de Lyon, Amiens et Nantes grâce à l’appui des parrains Generali.

Pour Thierry Gaudeaux, Secrétaire de l’association GPMA, « avec les Mardis solidaires d’Atout Soleil, nous avons voulu donner un coup de pouce tout particulier aux associations qui apportent une réponse locale et pragmatique aux besoins sanitaires et sociaux spécifiques liés à la Covid-19. Je tiens à remercier les réseaux commerciaux Generali qui parrainent les associations de ces villes et qui nous ont fait remonter ces belles initiatives ».

Les associations lauréates à Amiens :

« Les Robin.e.s des bennes » pour ses actions en faveur du maintien de la scolarité des plus jeunes et pour ses campagnes de collecte alimentaire, de dons de vêtements.

« Le Chapiteau Vert » avec son projet « Un ordinateur pour chacun » qui a réparé et distribué 450 ordinateurs à des publics fragilisés de la Somme (associations de femmes battues, de mineurs isolés, de personnes âgées, etc.).

« Amiens Jeunes » pour sa contribution à la lutte contre l’isolement d’environ 600 personnes âgées pendant le confinement via des appels téléphoniques et la mise en place d’une aide au ravitaillement.

 

« Les Petits pois ça bascule terrible » pour avoir maintenu le lien avec 129 patients adhérents de l’association atteintes de maladies chroniques grâce à un programme d’activités gratuites, en visio-conférence.

« ARMB du Belvédère » qui souhaite améliorer les conditions d’accueil d’une pouponnière de l’aide sociale à l’enfance tout en respectant les nouveaux protocoles sanitaires.

Les associations lauréates à Nantes :

« Les Masques à rade » qui a fabriqué et distribué 200 masques transparents à une association de parents d’enfants sourds.

« Des femmes en fil » qui a fabriqué et distribué gratuitement 15 000 masques aux Nantais en situation de grande précarité.

« La Cloche » qui a continué à assurer plus de 25 services de première nécessité aux personnes sans domicile fixe (aller aux toilettes, se laver les mains, brancher son téléphone, obtenir de l’eau, des denrées alimentaires, etc.) grâce notamment à un réseau solidaire de 14 commerçants nantais.

« La SurpreNantes Epicerie » qui a distribué, chaque semaine, des paniers alimentaires complétés par des produits d’hygiène à 400 étudiants dans le besoin.

« Solinum » qui a créé un outil numérique pour référencer tous les services de première nécessité et les dispositifs d’insertion utiles aux personnes fragiles.

Les associations lauréates à Lyon :

« Wake Up café » qui s’est attaché à maintenir un lien fort avec les personnes détenues ou sortant de prison pendant le confinement.

« Grim » qui souhaite rompre l’isolement des personnes en situation de handicap en mettant à leur disposition du matériel numérique et en les formant à son utilisation.

« Aida » qui a envoyé 2 000 boxes d’activités manuelles à des jeunes patients atteints de cancer alors complétement isolés.

« Les Amis de la Rue » qui ont maintenu un ensemble de services pour les plus démunis qui n’était plus pris en charge par la sphère publique.

« Oasis d’Amour » qui, grâce à ses 4 épiceries solidaires, a continué chaque jour à apporter une aide alimentaire aux plus fragiles.

 

 

 

 

La Fondation Belem lancera son programme de navigation fin janvier

Après une année 2020 blanche sans navigation, due à crise sanitaire, la fondation Belem continue de se réinventer et prépare activement la saison 2021 du Belem. Le calendrier des prochaines navigations sera dévoilé fin janvier. L’horizon s’éclaircit enfin pour l’armateur du trois-mâts qui programme de nouvelles navigations, ouvertes à tous, cet été.

« Nous nous adaptons continuellement à l’évolution positive du contexte sanitaire et au calendrier de déconfinement du gouvernement » explique Christelle de Larauze. « Si cette année 2020 a été compliquée pour notre fondation, nous n’avons jamais baissé les bras. Nous continuons d’entretenir le Belem pour qu’il soit prêt à repartir en mer. Nous avons, en avril dernier, incité les amoureux du trois mâts à naviguer avec leurs propres mots : notre grand concours d’écriture parrainé par Yann Queffélec a eu tellement de succès que nous avons publié un recueil illustré, doublement préfacé par Roselyne Bachelot et Stéphane Bern, réunissant les plus beaux textes du 1er confinement : un révélateur de talents et l’empreinte littéraire et picturale de cette année blanche pour le Belem. »

La déléguée générale de la Fondation Belem poursuit : « Nous ouvrirons de nouveau les ponts du trois-mâts aux visiteurs dès la mi-mars, en toute sécurité, dans plusieurs ports méditerranéens. La perspective d’un vaccin nous a convaincus qu’il était temps pour le trois-mâts de reprendre la mer et pour la fondation de programmer des navigations été 2021 en Méditerranée puis en Atlantique. Réponse fin janvier avec le dévoilement du programme 2021 du Belem.

En attendant, découvrez également le nouveau roman du Belem signé du Président de la Fondation, Nicolas Plantrou, visitez le site internet de la fondation et enfin, visionnez l’interview de Jérôme Pichard qui raconte le rachat du Belem en 1979 et la genèse de la fondation Belem il y a 40 ans.

 

Revue de presse

Allez hop une petite revue de presse de notre départ du Vendée Globe avec Maxime Sorel et Thomas Ruyant !

TB Press = relations presse, conseil, influence digitale, édito…

Bonne lecture,

https://fr.sports.yahoo.com/video/voile-vend%C3%A9e-globe-sorel-montrer-112226151.html

https://www.ouest-france.fr/vendee-globe/vendee-globe-le-skipper-maxime-sorel-enfin-sur-la-ligne-de-depart-a-bord-de-son-v-b-mayenne-7044175

https://www.gulli.fr/Actu/Fil-infos/News/Vendee-Globe-2020/Maxime-Sorel

https://www.lequipe.fr/Voile/Actualites/Maxime-sorel-v-and-b-mayenne-en-tete-du-vendee-globe/1192690

 

https://www.20minutes.fr/sport/2901259-20201106-vendee-globe-2020-bateaux-entres-autre-dimension-ca-arretera-estime-thomas-ruyant

https://sport24.lefigaro.fr/voile/vendee-globe/actualites/thomas-ruyant-le-solitaire-navigue-solidaire-1020463

https://www.liberation.fr/sports/2020/10/29/valeurs-dans-le-vent_1803875

https://www.lequipe.fr/Voile/Actualites/Vendee-globe-2020-vivez-la-course-aux-cotes-de-thomas-ruyant/1191570

https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/11/07/l-alchimie-en-haute-mer-du-marin-et-du-dj_6058876_3246.html

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/vendee-globe2-linkedout-skipper-thomas-ruyant-s-engage-inclusion-1890592.html

https://www.lavoixdunord.fr/890409/article/2020-11-08/vendee-globe-thomas-ruyant-pret-pour-le-depart

 

 

Maxime Sorel en tête avec Jean Le Cam

Maxime Sorel, skipper de l’IMOCA V and B – Mayenne à l’entrainement avant le départ du Vendée Globe 2020, mer d’Iroise le 29/08/2020, Photo © Jean-Marie LIOT / V and B-Mayenne

Hier, dimanche 8 novembre, Maxime a coupé la ligne de départ de son premier Tour du Monde en solitaire, sans escale et sans assistance au large des Sables d’Olonne. Ce matin, le skipper et son Dragon des océans s’affichaient en tête au classement du Vendée Globe, sur la route la plus directe*. Il est désormais deuxième derrière Jean Le Cam. Des émotions fortes non dissimulées, un départ canon et le début d’une aventure exceptionnelle pour le skipper de V and B-Mayenne.

Les skippers ont vécu leur première nuit de course dans des conditions relativement clémentes, mais cela ne devrait pas durer et les prochaines heures s’annoncent déjà difficiles. Au dernier classement, Maxime est deuxième à 1,2 milles de Jean Le Cam (Yes we cam !), leader. Le duo , ainsi que Damien Seguin, troisième, a emprunté, au près, une route Sud et sur l’orthodromie contrairement aux nordistes qui ont créé un gros décalage et qui devraient logiquement reprendre la tête dans la journée.

Joint ce matin par son équipe, Maxime semble en pleine forme : « C’est top de savoir que je suis en tête du classement ce matin, même si pour le moment c’est la météo qui dicte la trajectoire : je fais une route plus sud pour ne pas avoir une mer trop difficile ces prochaines heures. Jusqu’au milieu de la nuit on n’avait pas de mer, je profitais de mon J0. J’ai réussi à dormir, ce qui est rare pour une première nuit. J’ai mangé un bon cake aux olives bien frais… Tout va bien même si depuis quelques heures la mer s’est levée, nous avançons dans une mer croisée vraiment désagréable. Dès ce matin nous allons manœuvrer et avec tout ce que l’on a embarqué je n’ai pas hâte de devoir effectuer un virement de bord ! Nous nous dirigeons vers un 2ème front qui s’annonce difficile. Je suis focus sur les 48 prochaines heures et je peux vous dire qu’on va vivre une grosse journée pas cool !
Hier c’était vraiment fort en émotion et avec le report du départ ça n’en finissait pas. Je finissais par bouillir et n’avait qu’une envie : y aller une bonne fois pour toute. J’étais au taquet sur la ligne de départ ! »

*La route directe ou orthodromie désigne la route la plus courte pour réaliser le tour du monde.

Des partenaires ultra motivés et présents autour de Maxime Sorel

Maxime Sorel, le jeune skipper de V and B – Mayenne, s’élancera ce dimanche 8 novembre pour son premier Vendée Globe, tour du monde en solitaire, sans assistance et sans escale. Ultime course vélique, cette aventure est l’occasion pour le Cancalais d’embarquer ses partenaires avec lui. Depuis l’arrivée du bateau aux Sables d’Olonne le 17 octobre, Maxime Sorel a à cœur de partager ses derniers jours avec ses supporters avant de se confiner dès la fin de la semaine. 

« Depuis que j’ai acquis mon monocoque de 60 pieds, je ne rêve que d’une chose : prendre le départ du Vendée Globe le 8 novembre. Cela sera mon premier Vendée Globe. Certes, je serai seul à bord de mon voilier mais l’aventure que je vais vivre est le fruit d’un long travail collectif. Tout a commencé avec V and B qui voilà quelques années m’a fait confiance et a embarqué avec moi en Class40. L’arrivée du Département de la Mayenne en juillet 2019 comme co-partenaire a été un nouveau tournant dans ce projet Vendée Globe. C’est une véritable communauté qui s’est créée autour de moi et de mon équipe : des soutiens financiers oui mais aussi des amis, des supporters et surtout les patients atteints de la Mucoviscidose. » explique Maxime à quelques jours du grand départ. 

Le co-fondateur de V and B, part aussi en tournée

Le partenariat de Maxime Sorel avec V and B remonte à sa toute première transatlantique, la Route du Rhum – Destination Guadeloupe 2014. C’est ensemble qu’ils ont fait grandir ce projet de course au large. Maxime Sorel correspond à l’état d’esprit V and B et c’est ensemble qu’ils franchissent une nouvelle dimension avec le projet IMOCA V and B – Mayenne. En parallèle du Vendée Globe, Jean-Pierre Derouet, cofondateur de V and B, se lance l’incroyable défi de visiter l’ensemble des magasins de son réseau, partout en France pendant 4 mois ! Un périple de plus de 14 000 km, à travers 233 villes et 74 départements, pour aller à la rencontre des franchisés du réseau et de leurs équipes d’ici février 2021. « Nous avons du cœur et nous aimons les défis ! Accompagner Maxime, lui donner du souffle et de l’ambition et surtout lui souhaiter d’aller au bout de son rêve, c’est l’âme de notre partenariat. Le tour de France des V and B a été pensé depuis quelques mois pour faire un parallèle avec le Vendée Globe. Donner encore plus de résonance et de visibilité à ce grand défi que s’impose Maxime. En tant que cofondateur, il m’apparaissait important de maintenir la sève de notre convivialité qui est la signature de notre enseigne. « Partageur de bons moments et de grands défis » est plus qu’un slogan, c’est la réalité de notre quotidien. »  Jean-Pierre Derouet Co-fondateur de V and B.

La Mayenne, le partenaire d’expériences insolites 

Depuis 2019, une belle histoire entre Maxime Sorel et la Mayenne s’écrit au fil de l’aventure autour de valeurs communes : le partage, le dépassement de soi, la solidarité et l’entraide. Ce partenariat unique d’un Conseil départemental qui s’engage auprès d’une aventure aussi insolite, s’inscrit dans le cadre de démarche d’attractivité engagée du territoire. En octobre, la Mayenne a investi la gare Montparnasse avec une imposante campagne d’affichage aux couleurs du bateau de Maxime Sorel alors qu’à Laval (Mayenne) une belle exposition photo s’affiche sur les grilles de la Préfecture jusqu’au retour du marin. « S’engager, réunir, oser, autant de caractéristiques qui définissent ce Département qui n’hésite pas à faire bouger les lignes pour se démarquer et exister autrement. Au-delà de l’exposition médiatique, cette aventure révèle les valeurs de la Mayenne. La marque Mayenne s’associe à un état d’esprit, sportif, volontaire, tenace, et défend une belle et noble cause. Maxime Sorel, ce jeune sportif talentueux, a tous les atouts pour réussir cette course mythique. Il pourra compter sur notre détermination sans faille et notre soutien. » Olivier Richefou, Président du Conseil départemental de la Mayenne. 

Des p’tits moulins autour du monde au profit de Vaincre la Mucoviscidose 

Le symbole est fort pour les patients atteints de la Mucoviscidose qui souffrent de déficience de leur système respiratoire et digestif… Souffler dans un moulin à vent pour faire avancer la recherche et le bateau de Maxime ! L’objectif de l’opération est de fabriquer 24 000 moulins en papier dont les bénéfices de la vente seront intégralement reversés à l’Association Vaincre la Mucoviscidose (moyennant un don de 2 euros minimum par moulin). C’est-à-dire reconstituer le trajet du Vendée Globe, soit environ 24 000 milles nautiques ! Les moulins sont en vente sur le village du Vendée Globe, dans les V and B ou sur le site www.team-vandb-mayenne.com .

Atelier Coqlico habille Maxime Sorel 

Costumes, Chemises, Vestes, Chinos et plus encore… La marque Atelier Coqlico qui propose des tenues sur mesure n’a pas résisté à l’idée de tailler un costume aux couleurs du dragon des océans pour Maxime. Un partenariat insolite qui correspond à l’image du jeune skipper, aussi élégant que perfectionniste.

40 voiles All Purpose sur le Vendée Globe

La voilerie All Purpose basée à Carnac, membre du GIE All Purpose qui regroupe 7 voileries en France, sera présente sur le tour du Monde en solitaire, sans escale et sans assistance, à bord de 5 monocoques de 60 pieds IMOCA. « Nous avons conçu l’ensemble des voiles des voiliers de Miranda Merron, Samantha Davies et Manu Cousin » indique Rémi Aubrun. « Et nous avons quelques réalisations à bord des unités menées par Isabelle Joschke et Damien Seguin. »

Zoom sur le chemin parcouru par ces voiles et l’analyse de Rémi avant le départ des Sables d’Olonne le 8 novembre.

A l’écoute des marins et leurs équipes

Avant même de débuter la construction de la voile au sens strict, Rémi Aubrun, responsable du bureau d’étude All Purpose à Carnac, et son équipe passent beaucoup de temps à l’écoute des marins et de leurs teams.

« La première phase est la réflexion » déclare Rémi. « Chez une grande équipe comme Initiatives Cœur de Samantha Davies, je travaille avec des spécialistes intégrés qui ont une expertise forte en matière de conception de voiles. Nous concevons ensemble une fiche de fabrication bien en amont de la période de construction, souvent quasi un an avant. Nous discutons des volumes des voiles, des incidences sur le gréement, du nombre de lattes et surtout de performance. Ensuite à travers un logiciel, un genre de tunnel à vent numérique qui mesure l’interaction entre l’écoulement et la structure de la voile, je fournis des études qui les aident à décider, je donne des outils… » Pour d’autres qui n’ont pas de bureau d’étude, Rémi fournit l’ensemble du processus de réflexion en fonction des spécificités de chaque IMOCA et des skippers.

Estimer le procédé de fabrication

En parallèle Rémi entre en contact avec Pascal Rossignol de TRIlam pour étudier la faisabilité des demandes. « On regarde ensemble le programme et le type d’utilisation envisagés du skipper. Ils permettent d’estimer le procédé de fabrication avec le nombre de plis du matériau et les densités de fils. Nous évoquons les finitions non-tissées ou tissées et les films si besoin pour les voiles de portant. Nous en déduisons le poids cible. La décoration est aussi prise en compte, pour savoir si on fait une teinture masse des colles (zéro gramme) ou une peinture spray bi-composant sur toute la surface car son poids n’est pas négligeable, 4 à 5 Kg pour une GV recto-verso ». Parfois même la discussion se fait à trois, entre l’équipe, la voilerie et TRILam. »

 

La construction

La voile entre alors en construction. « Tout débute en amont chez TRILam-CLM avec la préparation des sous-couches textiles, des fibres et des résines. La majeure partie des matières sont heureusement en stock les jours de fabrication car il peut falloir plusieurs mois pour tisser une finition particulière, approvisionner des fibres rares, tester de nouvelles combinaisons, ou valider la peinture au pantone » selon Rémi. « Les fibres et les sous-couches sont ensuite placées dans diverses machines spécifiques qui vont déposer à sec les fils un par un en respectant le plan défini. La résine est alors ajoutée de façon à ce que les fils se retrouvent ensemble comme un composite en procédé d’infusion. C’est au tour du « lamineur » de passer à l’action au lieu de l’autoclave pressurisée dans le cas des matériaux composites. Ce « lamineur » qui est un genre de laminoir, est une combinaison de rouleau presseur qui compacte le tout sous 5 à 7 tonnes pour générer des grands panneaux en tissu. »

L’assemblage

La suite se déroule sur le grand plancher d’All Purpose dans le Morbihan. « Par exemple, pour une grand-voile IMOCA, nous recevons 8 panneaux. » enchaîne Rémi. « Nous enlevons quelques parties puis nous les assemblons avec une colle structurelle, la même que lors de la lamination. Une presse à chaud spécifique est utilisée pour laminer les jonctions collées un peu comme chez TRILam. Nous procédons alors aux finitions avec la pose de sangles et des goussets de lattes. Tout est optimisé pour le gain de poids sans concession sur la solidité. Tous les détails de fabrication font parties intégrantes de la performance et de la fiabilité. La voile est prête ! »

C’est en mer que se poursuit le processus avec de nombreux tests des produits finis et des ajustements au fil des navigations, phase très importante où le maître-voilier et le bureau d’étude troquent leurs habits de plancher par des cirés !

« Toutes nos voiles sont conçus en TRILam ou en TPI qui est notre version TRILam améliorée » ajoute Rémi qui, avec All Purpose, réfléchit également aux sacs des voiles.

Des sacs sur mesure

« Nous avons imaginé un tissu spécial pour les sacs à voiles que nous faisons laminer pour nous. Il est léger, étanche, il glisse bien sur le pont afin de faciliter les manœuvres de matossage qui sont différentes selon les caractéristiques de chaque voilier. Chaque sac est adapté. Ce sont des customs. La conception des sacs prend quasi autant de temps que celle des voiles ! »  

La formule « magique » pour le Vendée Globe

Enfin, quel jeu de voiles sera le plus efficace pour un Vendée Globe ?

« Nous nous nourrissons évidemment des concepts adoptés par les voileries concurrentes sur ce Tour du Monde. De notre côté et avec nos clients – navigateurs, nous privilégions surtout la polyvalence. A notre avis, une voile performante sur le Vendée Globe est une voile qui marche bien tout le temps et surtout dans un large spectre de polaires. L’idée est qu’elle reste à poste longtemps et que le sportif ne passe pas son temps à la changer. Les manœuvres coûtent cher en énergie et en temps sur un Tour du Monde ! Nous travaillons vraiment sur des vitesses moyennes et non sur des voiles trop spécifiques pour une allure. Nous essayons de ne pas trop prendre de risques et de ne pas faire des choix trop tranchés. A ce sujet, je pense que Samantha Davies et son Initiatives Cœur ont un jeu de voile très complet et polyvalent. Je suis persuadé que Samantha a tous les atouts pour la gagne et aura moins d’incertitudes que les concurrents qui bénéficient de voiliers « nouvelle génération » qui auront, à mon avis, des difficultés à exploiter leurs voiles à 100%. »

Les concurrents du Vendée Globe emportent 8 voiles :

  • La grand-voile
  • Un spi
  • Un grand gennaker
  • Un petit gennaker
  • Un J0
  • Un J2
  • Un J3
  • Un tourmentin

Thomas Ruyant prendra le départ de son deuxième Vendée Globe le 8 novembre aux Sables d’Olonne. Le skipper nordiste s’est donné deux objectifs sur ce Tour du Monde en solitaire et sans escale : performer et mettre son engagement au service de l’Inclusion professionnelle des personnes isolées.

LinkedOut, c’est le réseau pro pour ceux qui n’ont pas de réseau.

Depuis 2016, l’association Entourage retisse le lien entre les « inclus » et les « exclus ».
Au-delà des besoins matériels, les personnes précaires ont avant tout besoin de considération pour reprendre confiance et réussir à briser la spirale de l’exclusion. Un autre levier est également central pour se remobiliser et retrouver une place dans la société : l’emploi. Mais sans réseau, aujourd’hui il est très difficile de trouver un emploi. C’est pourquoi Entourage a créé le programme LinkedOut.

LinkedOut lance ce mercredi 14 Octobre sa deuxième promo de 80 candidats en précarité (personnes ayant connu la rue, jeunes sans réseau, personnes récemment arrivées en France…) qui sont aptes et motivés à travailler et accompagnés par un coach – bénévole. LinkedOut, c’est un principe simple : les profils de personnes en précarité sont mis en ligne sur www.linkedout.fr. Chacun d’entre nous est ensuite incité à partager leur CV sur ses réseaux sociaux, pour générer de la visibilité et ainsi des opportunités d’emploi. Eux ont des compétences, nous avons du réseau.

■ Le Vendée Globe, un accélérateur de visibilité. Thomas Ruyant, un marin impliqué
Pourquoi soutenir l’Inclusion ?
« L’inclusion est un sujet que je découvre. Ce projet me fait ouvrir les yeux et j’espère qu’il en sera de même pour d’autres. Toutes les rencontres que j’ai pu faire avec les coachs qui s’engagent ou les personnes précaires qui ont des parcours de vie chaotiques… Tout cela me fait beaucoup réfléchir. C’est évidemment une cause importante, remettre des personnes au travail peut leur permettre de changer de vie. Ce que je sais faire c’est aller vite sur l’eau et je suis super heureux de le faire pour LinkedOut. Je trouve la manière dont Linkedout met en avant l’inclusion est hyper moderne : on cherche à viraliser des CV pour remettre des personnes précaires à l’emploi. Chaque candidat a un coach qui l’accompagne. C’est limpide, pro, moderne… Utiliser la force d’internet pour avancer, c’est vraiment intelligent. On se retrouve totalement dans ce projet. C’est dans l’ADN de ce que l’on fait avec Advens depuis toujours : du digital, de la tech, de l’innovation. Notre sport, la Course au Large est assez précurseur dans cette dynamique de porter des projets sociétaux ».

En quoi ton Vendée Globe peut faire changer les choses ?
« J’ai en effet une responsabilité car ce n’est pas anodin d’avoir LinkedOut dans mes voiles. C’est une grande fierté d’avoir ce très beau bateau qui porte un message très fort. Depuis quelques années, avec toute mon équipe, on a mis des moyens pour être performants, et aujourd’hui nous avons un projet canon à tous les niveaux. On est capable de jouer les premiers rôles. C’est à moi de marquer le but maintenant… Et si j’arrive à marquer, le coup de projecteur sera dingue pour LinkedOut et pour l’Inclusion en général. Je suis bien conscient que ça peut avoir un vrai impact. On va parler de nous, c’est super. J’ai donc une responsabilité en tant que sportif pour leur donner ça… et c’est ce qui m’anime. La course au changement, c’est maintenant ! »

Quelle relation as-tu avec les candidats LinkedOut ?
« On a déjà vécu des moments très forts ensemble. Croiser le chemin de ces personnes-là, ça pique un peu, forcément ! C’est un projet très très riche et c’est ce qui me plait. Il y a un vrai truc qui se passe, ils sont tous hypers fiers de ce bateau qui porte leur message. Tous les candidats vont suivre cette régate planétaire, et l’engagement que je vais y mettre ! Est-ce que ça peut les aider à rebondir ? Je sais que ça va être dur, intense pour moi… peut être que ça peut leur donner de l’énergie, de la motivation. Cette course fait rêver beaucoup de monde, et je suis heureux de pouvoir leur apporter ça. J’espère vraiment que les 80 candidats de cette promotion Vendée Globe trouveront du travail. Aidons-les ! »

Thomas Ruyant prendra le départ de son deuxième Vendée Globe le 8 novembre aux Sables d’Olonne. Le skipper nordiste s’est donné deux objectifs sur ce Tour du Monde en solitaire et sans escale : performer et mettre son engagement au service de l’Inclusion professionnelle des personnes isolées. ■ LinkedOut, c’est le réseau pro pour ceux […]

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